Le Président des riches vient dans les
Ardennes et le conseil des ministres aura lieu le 7 novembre à
Charleville-Mézières ! Tout est prévu pour que les mécontents de
la politique de Jupiter restent à distance ! En fin de compte, le
rassemblement organisé par les syndicats aura lieu à 12 h sur
l'esplanade du Métropolis. Il va falloir être fort nombreux et
crier très fort pour se faire entendre
jusqu'à la mairie !
Pour exiger :
- une augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux.
- la réalisation concrète de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
- l’arrêt des réformes régressives visant la casse des droits collectifs et les mécanismes de solidarités.
- le droit à la retraite à taux plein pour tous les salariés, dès l’âge de 60 ans et en deçà pour les travaux pénibles.
- une vrai politique d’investissement ciblée notamment sur les enjeux environnementaux qui assure l’avenir des générations futures.
- des moyens pour nos hôpitaux ...
Le mécontentement gronde dans notre pays, tout particulièrement par rapport au pouvoir d'achat. Ceux qui sont amenés à des déplacements importants pour leur travail sont pénalisés par les hausses de carburants qui s'ajoutent aux autres hausses. Ils ont, à juste titre, l'impression d'être pris au piège, alors qu'ils avaient suivi les conseils : "soyez mobiles pour trouver du travail", "achetez une voiture diesel, cela vous fera faire des économies" et j'en passe ! Sur les réseaux sociaux figurent de nombreux appels à des actions le 17 novembre. Outre le fait que ces appels ont été repris par les partisans de l'extrême droite, il convient de s'interroger sur les buts d'une telle mobilisation : faire baisser la taxe sur les produits pétroliers. Comme tout impôt indirect, elle touche plus ceux qui ont le moins et elle est donc injuste. Mais ce n'est malheureusement pas la seule injustice, ni les vraies causes du mécontentement actuel de la population. La vraie cause, c'est le déséquilibre entre le travail et le capital, la non reconnaissance du travail, aggravée par toutes les mesures en faveur des employeurs, la remise en cause des retraites, si justement acquise ...
Faire progresser la reconstruction d'une alternative politique en faveur du monde du travail passe par l'explication des causes réelles de l'aggravation des conditions de vie actuelle et nécessite de donner des buts à l'action qui ne la conduisent pas à l'impasse, à de nouvelles désillusions. Le FN soutient les mobilisations annoncées pour le 17, précisément parce que c'est canaliser le mécontentement, sans mettre en cause le capitalisme. Toute démagogie à l'égard de ce mouvement, en partie spontané, en partie instrumentalisé, contribue à enfermer notre peuple dans un ronron sans issue, car ne mettant pas clairement en cause le rapport entre le travail et le capital, et ceux qui s'y livrent ne sont pas des militants responsables dignes de confiance !
Les vraies revendications seront portées dans le rassemblement du 7 novembre à Charleville-Mézières : c'est là qu'il faut être !
Pour exiger :
- une augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux.
- la réalisation concrète de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
- l’arrêt des réformes régressives visant la casse des droits collectifs et les mécanismes de solidarités.
- le droit à la retraite à taux plein pour tous les salariés, dès l’âge de 60 ans et en deçà pour les travaux pénibles.
- une vrai politique d’investissement ciblée notamment sur les enjeux environnementaux qui assure l’avenir des générations futures.
- des moyens pour nos hôpitaux ...
Le mécontentement gronde dans notre pays, tout particulièrement par rapport au pouvoir d'achat. Ceux qui sont amenés à des déplacements importants pour leur travail sont pénalisés par les hausses de carburants qui s'ajoutent aux autres hausses. Ils ont, à juste titre, l'impression d'être pris au piège, alors qu'ils avaient suivi les conseils : "soyez mobiles pour trouver du travail", "achetez une voiture diesel, cela vous fera faire des économies" et j'en passe ! Sur les réseaux sociaux figurent de nombreux appels à des actions le 17 novembre. Outre le fait que ces appels ont été repris par les partisans de l'extrême droite, il convient de s'interroger sur les buts d'une telle mobilisation : faire baisser la taxe sur les produits pétroliers. Comme tout impôt indirect, elle touche plus ceux qui ont le moins et elle est donc injuste. Mais ce n'est malheureusement pas la seule injustice, ni les vraies causes du mécontentement actuel de la population. La vraie cause, c'est le déséquilibre entre le travail et le capital, la non reconnaissance du travail, aggravée par toutes les mesures en faveur des employeurs, la remise en cause des retraites, si justement acquise ...
Faire progresser la reconstruction d'une alternative politique en faveur du monde du travail passe par l'explication des causes réelles de l'aggravation des conditions de vie actuelle et nécessite de donner des buts à l'action qui ne la conduisent pas à l'impasse, à de nouvelles désillusions. Le FN soutient les mobilisations annoncées pour le 17, précisément parce que c'est canaliser le mécontentement, sans mettre en cause le capitalisme. Toute démagogie à l'égard de ce mouvement, en partie spontané, en partie instrumentalisé, contribue à enfermer notre peuple dans un ronron sans issue, car ne mettant pas clairement en cause le rapport entre le travail et le capital, et ceux qui s'y livrent ne sont pas des militants responsables dignes de confiance !
Les vraies revendications seront portées dans le rassemblement du 7 novembre à Charleville-Mézières : c'est là qu'il faut être !