Il se décline en trois documents : le
cadre d'orientation stratégique, valable pour dix ans, le schéma
régional de santé et les objectifs quantifiés pour l'offre de
soins, pour les cinq prochaines années.
L'évolution des différents textes montre une réelle écoute des besoins exprimés par les populations et les professionnels de la région comme cette phrase p 211 : « Pour rappel, un point de vigilance doit être souligné à propos du reste à charge pour les familles compte tenu de la baisse des retraites et des difficultés potentielles à s’acquitter du tarif hébergement. »
Mais une analyse, dépassant un premier niveau de lecture - la satisfaction de voir reconnues les difficultés, l'aspiration à la réduction des inégalités - et recherchant les solutions proposées, trouve essentiellement un verbiage, à base de parcours (436 occurrences de ce terme dans le SRS), de télémédecine (57 occurrences), d'ambulatoire (140 occurrences), de coopération, collaboration (128 occurrences), coordination (196 occurrences) et des contradictions majeures, comme le manque reconnu de médecins généralistes et les taches nouvelles qu'on leur propose comme de remplacer les médecins scolaires pour l'examen obligatoire dans la 6ème année de l'enfant.
Les éléments essentiels sont :
- le cadre financier contraint revendiqué
- l'ignorance totale du service public
- la recherche d'une pseudo qualité aseptisée
- l'annonce d'une recomposition de l'offre de soins hospitalière.
Le verbiage voulant répondre aux aspirations des populations rend particulièrement difficile l'intervention des usagers, professionnels et élus sur le contenu de ce PRS. Pourtant il est inacceptable ! Ce document se termine donc par quelques éléments permettant des interventions. Rappelons que toutes les collectivités sont amenées à donner leur avis dans le cadre d'une consultation réglementaire se terminant le 15 mai dans le Grand Est.
Pour faciliter la lecture de ce commentaire du PRS, c'est en annexe que se trouvent les éléments déjà commentés : situation sanitaire de la région, télémédecine, prévention, ambulatoire …
L'évolution des différents textes montre une réelle écoute des besoins exprimés par les populations et les professionnels de la région comme cette phrase p 211 : « Pour rappel, un point de vigilance doit être souligné à propos du reste à charge pour les familles compte tenu de la baisse des retraites et des difficultés potentielles à s’acquitter du tarif hébergement. »
Mais une analyse, dépassant un premier niveau de lecture - la satisfaction de voir reconnues les difficultés, l'aspiration à la réduction des inégalités - et recherchant les solutions proposées, trouve essentiellement un verbiage, à base de parcours (436 occurrences de ce terme dans le SRS), de télémédecine (57 occurrences), d'ambulatoire (140 occurrences), de coopération, collaboration (128 occurrences), coordination (196 occurrences) et des contradictions majeures, comme le manque reconnu de médecins généralistes et les taches nouvelles qu'on leur propose comme de remplacer les médecins scolaires pour l'examen obligatoire dans la 6ème année de l'enfant.
Les éléments essentiels sont :
- le cadre financier contraint revendiqué
- l'ignorance totale du service public
- la recherche d'une pseudo qualité aseptisée
- l'annonce d'une recomposition de l'offre de soins hospitalière.
Le verbiage voulant répondre aux aspirations des populations rend particulièrement difficile l'intervention des usagers, professionnels et élus sur le contenu de ce PRS. Pourtant il est inacceptable ! Ce document se termine donc par quelques éléments permettant des interventions. Rappelons que toutes les collectivités sont amenées à donner leur avis dans le cadre d'une consultation réglementaire se terminant le 15 mai dans le Grand Est.
Pour faciliter la lecture de ce commentaire du PRS, c'est en annexe que se trouvent les éléments déjà commentés : situation sanitaire de la région, télémédecine, prévention, ambulatoire …