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La dette de la France ... et si ce n'étaient pas les dépenses publiques qui l'expliquait ?

cropped-logo3.jpgOn nous ressasse les oreilles de la dette publique, de l'hypothèque que nous faisons courir sur les jeunes générations si des mesures ne sont pas prises.

La commission européenne s'en mêle et ses dernières recommandations (on peut les trouver en cliquant ici) valent leur pesant d'or (et quelques crans supplémentaires pour la ceinture du peuple français). Elles critiquent le niveau du SMIC qui "est tel qu'il permet un pouvoir d'achat parmi les plus élevés de l'Union européenne." Elles invitent aussi à réduire les dépenses de santé et de retraite et à quelques autres petites gadgets, certainement sans conséquence pour la technocratie européenne, mais redoutables pour la majorité des Français, et tout cela au nom de la réduction du déficit, de la réduction de l'endettement.

La dette, quelle dette ? Un groupe de travail du Collectif pour un audit citoyen de la dette nous en donne les tenants et les aboutissements dans un rapport qui vient d'être publié et que vous pouvez trouver en cliquant ici : 59% de l’actuelle dette publique proviennent des cadeaux fiscaux et des taux d’intérêts excessifs et en fait, la part de la dépense publique dans le PIB a baissé.

Le rapport se conclut par une série de propositions destinées à alléger le fardeau de la dette (près de 50 milliards d’euros d’intérêts par an et plus de 100 milliards de remboursements) pour rompre avec le cercle vicieux des politiques d’austérité et financer les investissements publics dont l’urgence sociale et écologique n’est plus à démontrer.

L'austérité n'est pas une fatalité !

Catégories : Au fil des jours Lien permanent 0 commentaire

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