Rendez-vous le 5 décembre
au parc des exposions de Charleville-Mézières à 13h30
Macron, le président des ultrariches, comme le
nomment Michel et Monique Pinçon-Charlot, n'a qu'un but : satisfaire
l'avidité du capitalisme financier - en limitant à 14% du PIB la part des retraites publiques, limitant ainsi la part consacrée aux salariés dans la richesse produite, pour mieux gaver le capital
- en favorisant ainsi le recours à l'assurance privée, aux fonds de pension et autres outils du capitalisme prédateur pour conforter les retraites.
Ce n'est pas
l'universalité !
Mais la part belle à ceux qui pourront se payer
une retraite complémentaire.
C'est l'insécurité en
vue !
La conversion du point en retraite sera
fonction de la conjoncture annuelle et des choix politiques
C'est un paquet cadeau
comprenant aussi la casse de l'hôpital public et de
l'assurance maladie
Une réforme de progrès
c'est !
- faire de l'allongement de la vie un progrès pour la société et non un coût
- mettre un coup d'arrêt à l'avidité du capitalisme et orienter l'économie vers la satisfaction des besoins humains et des enjeux écologiques
- faire de l'allongement de la vie un progrès pour la société et non un coût
- mettre un coup d'arrêt à l'avidité du capitalisme et orienter l'économie vers la satisfaction des besoins humains et des enjeux écologiques
Il s'agit d'enjeux
de civilisation !
Concrètement c'est
:
- la retraite à taux plein à 60 ans
- l'universalité par une harmonisation par le haut
- pas de retraite inférieure au SMIC
- la reconnaissance de la pénibilité et des sujétions de service public pour un départ anticipé
Un financement en lien avec la transformation de l'économie pour mettre fin à la prédation du capital
- la mise à contribution des revenus du capital. Les faire cotiser au même taux que les salaires, c'est 31 milliards d'€ pour la branche vieillesse, de quoi inciter le capital à plus investri que de boursicoter !
- la modulation des cotisations pour augmenter la masse salariale, soutenir l'investissement pour les relocalisations et l'environnement
Et en lien avec une sécurité d'emploi et de formation (les trimestres de formation, ça compterait !) et l'égalité salariale entre les hommes et les femmes
- la retraite à taux plein à 60 ans
- l'universalité par une harmonisation par le haut
- pas de retraite inférieure au SMIC
- la reconnaissance de la pénibilité et des sujétions de service public pour un départ anticipé
Un financement en lien avec la transformation de l'économie pour mettre fin à la prédation du capital
- la mise à contribution des revenus du capital. Les faire cotiser au même taux que les salaires, c'est 31 milliards d'€ pour la branche vieillesse, de quoi inciter le capital à plus investri que de boursicoter !
- la modulation des cotisations pour augmenter la masse salariale, soutenir l'investissement pour les relocalisations et l'environnement
Et en lien avec une sécurité d'emploi et de formation (les trimestres de formation, ça compterait !) et l'égalité salariale entre les hommes et les femmes
Pour connaître les
propositions du PCF
Cliquez ici
-
Cliquez ici
EHPAD dans les Ardennes : une responsabilité non assurée par le conseil départemental
La CNSA (caisse nationale de solidarité pour
l'autonomie) vient de publier une
étude sur le prix des EHPAD en 2018 et leur comparaison avec
2017.
On y découvre que les Ardennes figurent dans le tiers des départements les plus chers en ce qui concerne le prix médian des EHPAD publics : 1917 €. Avec un tarif médian de 2030€, les EHPAD privés à but non lucratif placent les Ardennes à la 57ème place et c'est en fait pour les EHPAD privés que le département est le mieux classé : à la 27è place mais avec un tarif qui, privé oblige, est évidemment plus élevé encore : 2438 €. Sans doute le privé a compris que pour remplir ses EHPAD dans le département, mieux valait tenir compte de la situation sociale !
Le conseil départemental n'assure pas son rôle de solidarité et sa responsabilité vis à vis des personnes en perte d'autonomie.
On y découvre que les Ardennes figurent dans le tiers des départements les plus chers en ce qui concerne le prix médian des EHPAD publics : 1917 €. Avec un tarif médian de 2030€, les EHPAD privés à but non lucratif placent les Ardennes à la 57ème place et c'est en fait pour les EHPAD privés que le département est le mieux classé : à la 27è place mais avec un tarif qui, privé oblige, est évidemment plus élevé encore : 2438 €. Sans doute le privé a compris que pour remplir ses EHPAD dans le département, mieux valait tenir compte de la situation sociale !
Le conseil départemental n'assure pas son rôle de solidarité et sa responsabilité vis à vis des personnes en perte d'autonomie.