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  • Coup de colère du jour : police, justice ... et l'école de la deuxième chance de Vouziers

    Ceux qui soufflent sur les braises d'un feu entre police et justice portent une lourde responsabilité !
    Celle de ne pas poser la vraie question, le manque de services publics !
    Parmi ses responsables, les Sarkozy, Fillon et autres soit disants Républicains (Juppé, NKM ...) qui ont choisi de réduire le nombre de fonctionnaires !
    Evidemment, en disant cela, je n'excuse pas les Hollande/Valls et autres solfériniens (ne salissons pas ce beau mot de socialisme) qui n'ont pas voulu remettre le service public au coeur du fonctionnement de notre République, pour se plier aux diktats d'une commission européenne affiliée aux intérêts des marché financiers.
    Celle de ne pas se poser la vraie question, le manque de services publics : police, justice !
    Car comment ne pas voir le manque de police de proximité ! Car comment ne pas voir le manque de moyens de la justice pour aller plus vite tout en prenant le temps d'une vraie justice, pour aussi avoir davantage une justice éducative !
    Celle de ne pas se poser la vraie question, le manque de services publics : police, justice, éducation nationale aussi !
    Car comment ne pas voir tous ces jeunes laissés sans espoir par une école de plus en plus élitiste, faute d'être l'école pour tous, celle qui accueille tous les enfants comme s'ils n'avaient que l'école pour apprendre.
    Et je terminerai mon coup de colère du jour par l'annonce dans la presse locale du jour de la probable fermeture de l'école de la deuxième chance de Vouziers. Ce que ne dit pas l'article, c'est qu'il s'agit de la responsabilité de la région ! P. Richert se plierait il aux desiderata d'un Front National qui n'a que faire de ces jeunes restés sur le côté du chemin et qui, en Champagne Ardenne, votait toujours contre les crédits pour l'Ecole de la deuxième chance ? P. Richert n'a-t-il donc comme conception de la formation des demandeurs d'emploi que celle de l'adaptation à des emplois ? Cela limite considérablement les possibilités de formation en fonction des emplois existants (Evidemment, on peut multiplier ces formations en faisant des cadeaux aux entreprises, en formant des salariés pour des emplois de quelques mois, des salariés que les entreprises jetteront comme des kleenex pour en reprendre d'autres avec une formation un peu différente. Pour plus d'explications, allez voir un de mes précédents articles en cliquant ici). Mais cela n'investit pas dans l'avenir !

    Catégories : Ardennes, Au fil des jours, Education, formation Lien permanent 4 commentaires