E. Macron joue un jeu
dangereux pour la démocratie.
Les élections européennes ne sont pas le deuxième tour des élections présidentielles ! Ce sont même les seules élections à la proportionnelle.
En présentant la liste menée par Nathalie Loiseau, celle de LREM, Renaissance, comme celle du barrage à l'extrême droite, au Rassemblement National, E. Macron et son gouvernement, aidés par les médias soumis à la finance, poussent leurs adversaires vers le RN, qui, évidemment, se présente comme le seul opposant à Jupiter.
La question n'est pas quelle liste arrivera en tête le 26 au soir. Ce qui compte, c'est que ces deux listes, celle de LREM et celle du RN, celle de la finance internationale et celle de la finance nationale, obtiennent le minimum de suffrages !
Mais sans doute, la démocratie est le dernier des soucis d' E. Macron, lui qui veut tout gérer en personne, lui qui tolère les atteintes à la liberté de manifester et ne dénonce pas des attitudes intolérables des forces de l'ordre comme lors de la manifestation du 1er mai à Paris.
La question est d'utiliser ces élections pour ce à quoi elles sont destinées : élire des députés au parlement européen !
Et de ce point de vue, on peut faire confiance au PCF ! C'est le seul parti à s'être toujours prononcé contre les traités européens, car, depuis le début, il a compris que ces traités n'étaient pas faits pour les gens, mais pour la finance. Et il ne lutte pas contre l'Europe, mais contre le capitalisme. Son internationalisme le conduit à oeuvrer pour l'Europe des gens : nous avons tous à gagner à une Europe se construisant contre le pouvoir de la finance, permettant les coopérations plutôt que la concurrence !
Et voter pour la liste menée par Ian Brossat, c'est évidemment mettre un carton rouge à Macron !
Les élections européennes ne sont pas le deuxième tour des élections présidentielles ! Ce sont même les seules élections à la proportionnelle.
En présentant la liste menée par Nathalie Loiseau, celle de LREM, Renaissance, comme celle du barrage à l'extrême droite, au Rassemblement National, E. Macron et son gouvernement, aidés par les médias soumis à la finance, poussent leurs adversaires vers le RN, qui, évidemment, se présente comme le seul opposant à Jupiter.
La question n'est pas quelle liste arrivera en tête le 26 au soir. Ce qui compte, c'est que ces deux listes, celle de LREM et celle du RN, celle de la finance internationale et celle de la finance nationale, obtiennent le minimum de suffrages !
Mais sans doute, la démocratie est le dernier des soucis d' E. Macron, lui qui veut tout gérer en personne, lui qui tolère les atteintes à la liberté de manifester et ne dénonce pas des attitudes intolérables des forces de l'ordre comme lors de la manifestation du 1er mai à Paris.
La question est d'utiliser ces élections pour ce à quoi elles sont destinées : élire des députés au parlement européen !
Et de ce point de vue, on peut faire confiance au PCF ! C'est le seul parti à s'être toujours prononcé contre les traités européens, car, depuis le début, il a compris que ces traités n'étaient pas faits pour les gens, mais pour la finance. Et il ne lutte pas contre l'Europe, mais contre le capitalisme. Son internationalisme le conduit à oeuvrer pour l'Europe des gens : nous avons tous à gagner à une Europe se construisant contre le pouvoir de la finance, permettant les coopérations plutôt que la concurrence !
Et voter pour la liste menée par Ian Brossat, c'est évidemment mettre un carton rouge à Macron !