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  • Pour la démocratie je vote pour la liste menée par Ian Brossat le 26 mai !

    E. Macron joue un jeu dangereux pour la démocratie.
    Les élections européennes ne sont pas le deuxième tour des élections présidentielles ! Ce sont même les seules élections à la proportionnelle.
    En présentant la liste menée par Nathalie Loiseau, celle de LREM, Renaissance, comme celle du barrage à l'extrême droite, au Rassemblement National, E. Macron et son gouvernement, aidés par les médias soumis à la finance, poussent leurs adversaires vers le RN, qui, évidemment, se présente comme le seul opposant à Jupiter.
    La question n'est pas quelle liste arrivera en tête le 26 au soir. Ce qui compte, c'est que ces deux listes, celle de LREM et celle du RN, celle de la finance internationale et celle de la finance nationale, obtiennent le minimum de suffrages !
    Mais sans doute, la démocratie est le dernier des soucis d' E. Macron, lui qui veut tout gérer en personne, lui qui tolère les atteintes à la liberté de manifester et ne dénonce pas des attitudes intolérables des forces de l'ordre comme lors de la manifestation du 1er mai à Paris.
    La question est d'utiliser ces élections pour ce à quoi elles sont destinées : élire des députés au parlement européen !
    Et de ce point de vue, on peut faire confiance au PCF ! C'est le seul parti à s'être toujours prononcé contre les traités européens, car, depuis le début, il a compris que ces traités n'étaient pas faits pour les gens, mais pour la finance. Et il ne lutte pas contre l'Europe, mais contre le capitalisme. Son internationalisme le conduit à oeuvrer pour l'Europe des gens : nous avons tous à gagner à une Europe se construisant contre le pouvoir de la finance, permettant les coopérations plutôt que la concurrence !
    Et voter pour la liste menée par Ian Brossat, c'est évidemment mettre un carton rouge à Macron !

    Catégories : Au fil des jours Lien permanent 0 commentaire
  • Rapport Libault - suite - analyse succincte des propositions

    Dans la suite de mon précédent article (à retrouver en cliquant ici), voici une analyse à la fois sans doute trop longue à lire, mais qui reste trop succincte des propositions du rapport : d’autres auraient mérité d’être commentées : au-delà d’un discours semblant répondre aux attentes, l'imprégnation par l'idéologie libérale est constante, plus ou moins masquée.

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    Catégories : santé et protection sociale Lien permanent 0 commentaire
  • Rapport Libault : un rapport sur la perte d'autonomie marqué par l'idéologie du grand patronat

    Le rapport Libault sur « Grand âge et autonomie » date déjà un peu mais sa lecture nécessite un décryptage qui demande du temps. Il mélange ce que l’auteur a bien voulu retenir de la concertation et un nombre conséquent de propositions (175) au contenu très divers, de la bonne intention à aspect pseudo éthique à des mesures très techniques, à l’occasion intéressantes, en ayant picoré ici et là, pour faire rassembleur, tout en distillant son idéologie, au service du grand patronat.
    Vous m'excuserez donc de ne vous livrer que maintenant ces premières réflexions. Suivront ultérieurement une analyse des propositions et une autre vision d'une politique solidaire de la perte d'autonomie.
    Ce rapport a officiellement pour but de faire des propositions à la suite de la concertation organisée par le gouvernement sur le grand âge et de préparer des réformes.
    Il ne fera pas date dans l’histoire des idées de la protection sociale. Car s'il s’ouvre sur une citation de Pierre Laroque (une allusion à la création de la Sécurité sociale est de bon ton, tout en étant moins engageante en citant un haut fonctionnaire qu’un ministre communiste !) il ne donne pas à voir un projet de société prenant convenablement en charge les vieux, mais reste très conjoncturel dans les propositions, et, pire, ce rapport sue l’idéologie libérale au service du grand patronat :  la perte d’autonomie demanderait des moyens financiers importants pour une bonne prise en charge et en demandera encore plus dans les années à venir. L’avenir est à l’assurance privée car il faut diminuer la dépense publique. Pour l’instant il convient seulement de répondre à l’attente des Françaises et des Français, en communiquant et en faisant payer par les retraité.e.s eux-mêmes une aide aux personnes en perte d’autonomie les plus en difficulté sociale. Le refus de solutions solidaires s'associe à une grande condescendance vis à vis des « petites mains » de la prise en charge de la perte d’autonomie et à une ignorance totale de l’urgence d’un progrès démocratique. Sans doute pour contribuer à la confusion et à l’incertitude sur les suites qui seront données, le dossier de presse met en avant des propositions clés et des priorités dans des ordres différents !

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    Catégories : santé et protection sociale Lien permanent 0 commentaire
  • Premier mai

    Prochain rendez-vous de luttes le jeudi 9 mai - 13 h 30 - Préfecture des Ardennes


    Catégories : Ardennes Lien permanent 0 commentaire