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Mercredi 22 janvier 15 h rue François Mitterrand (devant
l'Inspection d'académie)
Jeudi 23 janvier 18 h place ducale : déambulation lumineuse
Vendredi 24 janvier 13 h place ducale pour une grande
manifestation
Ci-dessous vous pourrez voir la vidéo de la
manifestation de jeudi dernier, mais avant une information
pour vos agendas, une date à retenir : le vendredi 7 février,
Cathy Apourceau Poly, sénatrice PCF du Pas de Calais, animera une
réunion publique à 18 h salle de Nevers sur les retraites : car le PCF a des
propositions, pour une réforme progressiste, qui ne confond pas
universalité avec régression des droits, ne sous estime pas la pénibilité,
prend en compte ceux qui actuellement ont trop peu de retraites, tout cela
avec les financements qui vont avec !
Comme ailleurs en France, les Ardennais étaient
toujours dans la rue aujourd'hui ! Prochain rendez-vous : jeudi 16 janvier 17 h 30 au départ de la
bourse du travail
Nous sommes dans le grand jeu médiatique, les
combines de couloir du pouvoir pour casser l'unité syndicale et
redorer le blason des syndicats réformistes en faisant croire
qu'ils ont gagné. Même l'UNSA RATP ne s'y est pas trompé en
appelant à continuer le mouvement.
Fondamentalement, le système à points reste et il est mauvais : en
passant d'un système à prestations définies à un système à
cotisations définies, il met les retraités et futurs retraités
dans l'insécurité.
La lettre d'E. Philippe aux organisations syndicales leur renvoie
la responsabilité de définir un "âge d'équilibre" lors de la
conférence de financement, en refusant d'emblée la hausse des
cotisations ! Jouer sur les réserves ne permettrait que des
adaptations à la marge et cela est bien loin de la vision globale
qui serait nécessaire avec la prise en compte de la perte
d'autonomie et de l'augmentation indispensable des ressources de
l'assurance maladie pour cela.
Plus que jamais, il faut
se battre pour faire cotiser les revenus financiers !
Et bien sur, dans la foulée pour l'augmentation
des cotisations, en les modulant : un atout majeur pour pousser
les entreprises vers l'utilité sociale et environnementale.
Plus que jamais, c'est le retrait du projet qui doit être exigé :
le gouvernement est dans le déni de la démocratie en proposant de
modifier le projet entre les deux lectures à l'Assemblée nationale
en fonction des résultats de la conférence de financement !
D'après le courrier d'E. Philippe, il faudrait que les Français
aient une vision complète de la réforme et de ses effets à l'été
2020 au moment de la publication de la loi ! Surtout pas avant :
c'est incontestablement trop dangereux !
Et pour compléter dans les pratiques antidémocratiques, dans le
point suivant (le point 7 du courrier) il propose de modifier le
projet de loi, pour que le parlement accorde une habilitation
large au gouvernement pour prendre les ordonnances nécessaires à
l'équilibre financier ! Nous devons être toutes et tous dans l'action :
- prochaine manifestation à Charleville-Mézières mardi 14 :
rassemblement à partir de 13 h place Ducale pour une manifestation
à partir de 14 h
- pétition : signez la pétition retraite demandant le retrait du
projet. Il y a déjà près de 150 000 signatures. Elle est ici.
- soutenons des propositions : évidemment, on ne peut se contenter
de rejeter le projet gouvernemental. Il y a besoin de plus de
justice, de revaloriser les plus petites retraites, de garantir
l'avenir de nos retraites. Soutenez donc l'appel pour une réforme
de progrès social et de civilisation à retrouver ici.
- Témoignez votre solidarité avec les grévistes. C'est le sens de
la première vidéo ci-dessous.
Les deux autres sont celles des manifestations du 9 et du 11
janvier dans les Ardennes
Le gouvernement prend une lourde responsabilité
en s'entêtant dans sa réforme des retraites.
L'histoire des simulateurs est caricaturale : il n'est en effet
pas possible de calculer sa retraite, puisqu'elle n'est pas
définie ! Le système à point définit les cotisations, pas la
prestation !
Ce projet maléfique doit être abandonné.
Mais n'en déplaise à certains, contestataires pour le plaisir de
contester, il y a aussi urgence à un autre projet, et si un
consensus pour un projet global progressiste est difficile dans
l'état politique de notre pays, il y a urgence à régler les
situations les plus dramatiques, celles du minimum vieillesse,
celles des agriculteurs ...
La lutte continue ! Voilà une vidéo du 17 décembre à
Charleville-Mézières.