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Le blog de Michèle Leflon - Page 96

  • Collèges, lycées, le grand désamènagement et les mensonges de l'Education Nationale

    Fermer des collèges, en jouant sur les mots et sur l'usure des parents, des enseignants et des élus et au prix d'un chantage ignoble, une nouvelle scène de ce drame en 10, 15, ou 20 actes s'est jouée la semaine dernière avec un vote au Conseil d'Administration du collège multisite de Vouziers/Le Chesne en faveur (à une voix de majorité) de la fermeture du site du Chesne à la prochaine rentrée.

    Un drame commencé le siècle dernier : 1995, date des premières consultations du Recteur de l'époque pour tâter le terrain !

    Très vite, les résistances sont apparues, aboutissant à ce compromis : pas de fermeture, mais des collèges multisites.

    Si le projet devait aboutir, il aura fallu 19 ans à l'Education Nationale pour arriver à ses fins : supprimer le collège du Chesne, 19 ans à endormir, à manipuler !

    Une montagne d'hypocrisie : on ne ferme pas de collèges, mais simplement un site ... on respecte la démocratie : c'est le CA qui l'a demandé.

    Des années à user les profs pour préparer le renoncement ...

    Des années à jouer sur l'incertitude pour inciter aux départs vers l'enseignement privé.

    Des années à concocter des réductions de moyens :  jusqu'où faudra-t-il aller pour faire céder ?

    Et la même continuité patiente : 95, la droite au pouvoir, puis Jospin, puis 10 ans de droite, aujourd'hui les solfériniens ...

    Des opportunités, avec un DASEN de choc et ce cadre politique bien particulier où des postes d'enseignants sont recréés ... ailleurs en France mais supprimés dans les Ardennes : un contexte pour inciter à la fatalité. C'est la baisse démographique ...

    Un prétexte constant : la PEDAGOGIE, L'INTERET DES ENFANTS. Histoire de renvoyer les parents, les enseignants de base, les élus à leur " incompétence "

    Sauf que depuis 1995 on attend toujours que l'on nous démontre que ces collégiens "des petits collèges" réussissent moins bien que d'autres. Le discours a d'ailleurs changé "il y a moins de valeur ajoutée que dans d'autres"

    Quel projet pédagogique d'ailleurs derrière cette volonté d'avoir de gros établissements scolaires facilitant parait il l'émulation ? Celui de dégager l'élite qui va continuer des études longues, que l'on prépare à "entreprendre" ... c'est la dernière trouvaille à la mode ... ou la volonté d'emmener tous les jeunes le plus loin possible sans en laisser aucun dans l'échec ?

    Demain, le même scénario pourrait se reproduire à Grandpré, annonçant la fermeture du site de Buzancy.

    Les membres des CA sont soumis à un chantage : des classes à effectifs surchargés, des conditions d'étude insoutenables ou accepter que les collèges multisites ne fonctionnent plus que sur un site. Il ne s'agit pas de démocratie puisque les dés sont pipés : les moyens sont donnés à ces collèges pour obliger à gérer la pénurie : les membres des CA doivent bien comprendre que ce que l'on retiendra, ce n'est pas qu'ils ont essayé de choisir le moins pire, mais bien qu'on leur demande en fait de se prononcer pour la fermeture d'un collège !

    Quelle démocratie ? Comment l'augmentation du nombre des postes d'enseignants en France se traduit par une telle baisse dans les Ardennes ? Pourquoi le ministre de l'Education Nationale, quand il répond à une députée du Lot " considère que les territoires ruraux doivent être traités de façon particulière. " et ne prend pas en considération le Sud Ardennais, ni d'ailleurs le nord du département et se réfugie, en répondant à C. Léonard derrière la "condition que des objectifs pédagogiques de réussite des élèves soient poursuivis par les uns et par les autres." Comme si ce n'était pas ce que cherchaient les uns et les autres.

    Sauf que les collèges ou lycées " usines " ne sont pas forcément le meilleur modèle, pas plus que les usines à bébés ou les usines à vaches ...

    Je voulais aussi parler des lycées de Givet et de Revin, mais ce billet est déjà trop long. Simplement vous pouvez trouver les dernières informations sur le nouveau blog de Givi en cliquant ici.

    Catégories : Ardennes, Education, formation Lien permanent 6 commentaires
  • Hôpital : Sylvain Dalla Rosa écrit à la Ministre de la santé

    3765586004.jpgSylvain Dalla Rosa, maire adjoint de Charleville Mézières et membre du conseil de surveillance du centre hospitalier vient d'écrire à Marisol Touraine :

    Madame La Ministre,
    Récemment, le Collectif de défense de l’hôpital public a organisé un débat à Charleville-Mézières. Cette initiative s’inscrivant dans le cadre d’un tour de France pour l’accès aux soins de la coordination nationale. A cette occasion, nous avons pu faire le point sur l’évolution de la politique de santé sur notre territoire. Il apparaît que de fortes craintes pèsent sur la pérennité de la gestion publique de l’offre de soins dans les Ardennes. Par le biais de la création d’un Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) composé du groupe Orpéa-Clinéa, des hôpitaux publics de Charleville-Mézières et Sedan et de la Mutualité des Ardennes, une activité privée se développe à l’hôpital public. Plus globalement, la loi HPST continue à s’appliquer malgré les engagements du gouvernement de réformer ce texte qui permet d’introduire le privé à l’hôpital public et qui prive les conseils de surveillance des hôpitaux de tout rôle de gestion.
    J’ajoute que malgré plusieurs sollicitations auprès de Monsieur le Directeur de l’Agence Régionale de Santé, le développement du GCS Ardenne Nord se déroule en tout opacité. Aucun élu ne siège dans ce groupement et le bilan financier et d’activité n’est jamais communiqué aux conseils de surveillance sans que Monsieur le Directeur de l’ARS ne s’émeuve de cette situation. Par ailleurs, nous avions évoqué la possibilité de transformer le GCS, qui est actuellement de droit privé,  en GCS de droit public. Cette proposition n’a jamais été examinée avec sérieux et à la demande du Directeur de l’ARS c’est l’administrateur du GCS qui a réfuté cette possibilité alors qu’il est juge et partie. Je veux préciser que la situation actuelle engendre des tensions entre agents, compte tenu des statuts des différents personnels qui sont amenés à intervenir sur un même site. Dans ces conditions aucun dialogue constructif n’a pu être engagé depuis deux ans alors, qu’en théorie, une autre approche de la politique de santé devait être mise en œuvre par le gouvernement. En réalité, cela se traduit sur le terrain par la poursuite de la politique de la précédente majorité.
    C’est pourquoi, je vous demande que Monsieur le Directeur de l’ARS puisse être remplacé pour donner à l’agence une activité plus conforme aux promesses électorales. D’autre part, je vous confirme que l’abrogation de la loi HPST et le vote d’une loi permettant le développement de l’offre de soins publics répondrait au souhait de nombreux intervenants dans le domaine de la santé.
    Souhaitant connaître votre position sur ces éléments,

    Catégories : Ardennes, santé et protection sociale Lien permanent 0 commentaire
  • Ligne Givet-Charleville : pour alimenter le débat !

    garerevin.jpgVoilà le courrier adressé par Jean SOUTTRE à Radio Fugi :

    Bonjour à toute l’équipe de FUGI FM
    Comme vous le savez, étant natif de Vireux-Wallerand, je suis un auditeur assidu et fidèle de votre station, qui est pour moi un moyen très agréable d’avoir des nouvelles de la pointe depuis Colmar.
    L’objet de mon mail : la liaison ferroviaire Charleville-Mézières/Givet
    Je connais très bien cette ligne pour l’utiliser ou tenter de l’utiliser à chacun de mes retours dans les Ardennes, et pour avoir été contrôleur sur cette ligne jusqu’à ma mutation en Alsace. J’ai d’ailleurs également accompagné les trains jusqu’à Dinant.
    Ce qui me fait réagir aujourd’hui, ce sont les interviews de Messieurs WALLENDORF, Maire de Givet, et DECKENS, Maire de Vireux-Wallerand et Président de la Com Com Ardennes Rives de Meuse.
    Ma 1ère réaction sera celle-ci : Il est bien de faire s’exprimer les élus locaux, mais je crois savoir qu’ils n’étaient pas les seuls à participer au CLAD qui s’est tenu à Revin le 29 janvier. Je pense que les usagers avaient également leur place sur votre antenne tout comme les autres forces politiques en présence et qui ont beaucoup œuvré pour fédérer un maximum d’usagers et les inciter à participer massivement à cette instance (rencontre dans les gares, signatures de pétitions, etc.)

    Ces uniques interventions sont, à mon sens, dommageables pour le pluralisme de l’information car, en plus, j’ai appris que ces deux personnalités de la pointe ne se sont pas ou si peu exprimées durant cette réunion.
    Ces deux élus locaux essaient de faire croire qu’ils agissent pour sauver cette ligne ferroviaire alors que ce sont eux, de part leur appartenance politique, qui n’ont cessé de cautionner l’endettement et le démantèlement du système ferroviaire français qui conduit à la situation actuelle. Celui-ci date depuis 1974 avec la volonté de VGE de vouloir construire le TGV mais sur les fonds propres de la SNCF au détriment du réseau national, ce qui marque le début du désengagement de l’état actionnaire principal et unique de l’entreprise de service public.
    Sans vouloir prendre la défense de la SNCF et de RFF, il faut savoir que l’idée de la séparation des infrastructures et de l’exploitation date de 1996 sous CHIRAC Président, JUPPE 1er Ministre avec Bernard PONS Ministre de l’aménagement du territoire et Anne-Marie IDRAC Secrétaire d’Etat chargée des transports. (Tous membres du RPR de l’époque, UMP d’aujourd’hui. En créant RFF ils l’ont généreusement doté de la dette de la SNCF. Donc RFF lourdement endetté est obligé de trouver de l’argent pour entretenir et construire de nouvelles lignes. Cet argent provient en partie des péages exorbitants demandés par RFF à la SNCF pour faire circuler les trains, résultats : RFF est toujours endetté et la SNCF continue de s’endetter également, c’est le chat qui se mord la queue !!! De plus l’abandon « généreux »des infrastructures autoroutières au privé sous SARKOZY, tout comme l’abandon de l’écotaxe par le gouvernement actuel, n’arrange rien à cet épineux problème du transport ferroviaire, bien au contraire puisque la SNCF à cassé totalement son outil de production FRET au profit de la concurrence et du privé. De ce fait, moins de péages à RFF, mais aussi de massives suppressions d’effectifs et d’emplois. Voilà très succinctement décrite la situation du système ferroviaire français que cautionnent implicitement ces deux élus !!
    Mr WALLENDORF émet l’idée de faire payer en partie la réfection de la ligne par EDF pour le transport des déchets nucléaires, c’est du n’importe quoi ! Par contre, s’est-on posé la question de faire payer aux contribuables les 18 milliards d’euros qu’ont coûté le sauvetage du crédit lyonnais avant de, là-aussi, privatiser cette banque, c’est-on posé la question lorsque l’état français, les contribuables, a accepté de payer les intérêts des emprunts bancaires contractés par Disney pour construire le parc Eurodisney à Marne-la-Vallée ??
    De plus cet élu met en opposition l’électrification la ligne 4 (liaison ferrée Paris-Bâle) entre Paris et Troyes et la réfection de Charleville-Givet, afficher de tels propos fait montre d’une méconnaissance totale des fondamentaux des Services Publics. Je reviendrai sur ce sujet à la fin de mon propos.
    Mr DECKENS affirme haut et fort qu’il faut une décision politique forte, il a parfaitement raison, mais elle doit être difficile à prendre car aux antipodes de celles qui ont été prises pas ses pairs politiques !!!!
    De plus lui aussi affiche une méconnaissance totale des fondamentaux des services publics lorsqu’il reprend et se satisfait de l’affirmation faite par RFF qui dit que : "cette liaison ferroviaire n’est pas une ligne régionale, mais une ligne nationale". Là aussi je reviendrai sur ce sujet plus bas.
    Concernant la liaison Givet/Dinant, là aussi Mr DECKENS à tort lorsqu’il dit : "On verra cette liaison lorsque Charleville/Givet sera fait" !!! Et bien non, c’est en même temps qu’il faut agir pour le rétablissement de cette ligne dans le cadre d’une cohérence dans un schéma des transports européens. Oui cette liaison a toute sa pertinence tant en terme de transports collectifs que Fret. Ce n’est pas le tout d’affirmer dans les slogans que nous sommes "au cœur de l’Europe", il faut faire le nécessaire pour y être.
    Petite précision : j’étais contrôleur sur le train inaugural flanqué des drapeaux Belge et Français entre Charleville et Dinant dans lequel Jacques Sourdille paradait et en se félicitant de l’ouverture vers la Belgique. Hélas les rares liaisons mises en place ne correspondaient pas aux besoins exprimés par les usagers, ce qui est la base essentielle de la pertinence des Services Publics.
    Je reviens brièvement sur quelques fondamentaux du service public. Partant du principe que tous les citoyens doivent bénéficier des mêmes services fussent-ils des ruraux ou des citadins et quelque soit leur position dans la hiérarchie sociale, il est inconcevable de mettre en opposition des lignes ferroviaires entre elles, comme le fait Mr WALLENDORF, de la même manière qu’il est inconcevable de parler de ligne d’intérêt régional ou national, comme le fait Mr DECKENS !
    Elles font toutes partie intégrante d’un maillage du territoire national au plus près des intérêts des citoyens et usagers de ce pays. Lorsque l’on s’exprime en termes de service public on le fait dans le cadre de la rentabilité sociale et non financière.
    C’est bien là l’esprit du Service public tel qu’il a été mis en place en 1945 par le Conseil National de la Résistance sous le contrôle de Marcel PAUL et d’Ambroise CROIZAT, tous deux ministres communistes.
    J’en arrête là mon propos en souhaitant que vous donniez la parole aux forces en présence usagers, politiques (tous) cheminots et entreprises ferroviaires, et pourquoi pas organiser un débat public autour de ce problème.
    Le contrôle de l’utilisation de l’argent public n’appartient pas aux politiques, il appartient aux citoyens.
    En souhaitant que vous preniez en compte ma requête, je présente toutes mes plus sincères salutations !
    Jean SOUTTRE
    PS : Continuez, votre station est vraiment sympa.

     
    Catégories : Ardennes Lien permanent 2 commentaires
  • Justice ... Quelle justice pour les anciens combattants ?

    Il me parait intéressant de vous faire connaître le courrier adressé par René Visse à Bernard Cazeneuve, Ministre délégué en charge du budget :

    Monsieur le Ministre,
    Concernant la rente mutualiste ancien combattant, le gouvernement a publié le 27 décembre dernier un décret rétablissant les subventions d’Etat à compter du 1er janvier 2014.
    Vous adresser mes remerciements pour cette disposition de justice serait pure hypocrisie de ma part puisque lors du débat à l’Assemblée Nationale du 13 décembre dernier vous avez osé déclarer que « la rente mutualiste est un dispositif des plus injustes » et « remettre en cause les dispositifs les plus injustes…c’était œuvrer pour la justice ».
    Comme toujours, vous ne démontrez rien. Vous ne faites qu’affirmer pour transformer des contre vérités en vérités incontestables. Ne croyez vous pas qu’il serait plus sage de faire appel à l’intelligence des Citoyens plutôt que les mépriser. La démocratie y gagnerait beaucoup.
    D’autre part, comme tous mes semblables constitutifs de l’écrasante majorité de notre peuple, je ne suis pas dans le fichier des grands possédants du CAC 40, ni dans celui du MEDEF. Je ne possède aucune action qui me permettrait de vivre oisivement du travail du plus grand nombre. C'est-à-dire que je ne relève pas de la condition sociale que le Président de la République avait désigné comme appartenant à la finance : son seul adversaire. Je vous demande de vous recentrez sans attendre sur ce positionnement. Ainsi vous obtiendrez de grands et beaux résultats de justice sociale ainsi que dans le redressement des finances publiques puisque vous déclarez vouloir servir ces objectifs.
    Pour ne parler que de ceux qui comme moi ont participé à la sale guerre d’ALGERIE et qui se sont constitués une retraite mutualiste comment osez-vous les désigner comme des profiteurs ?
    Ayez le courage d’assumer vos responsabilités car à qui dois-je mes 28 mois de ma jeunesse passés en ALGERIE, sinon au gouvernement Guy MOLLET qui, je crois me souvenir était socialiste comme vous. Quelques dizaines de milliers de mes semblables sont morts au combat « pour la France » dites vous en leur rendant hommage. Pour la France où pour les profits de grandes compagnies, pétrolières entre autres ! Quand vous déciderez vous a respecter le monde anciens combattants et ses Associations en acceptant une fois pour toute l’existence du droit à réparation avec l’ensemble des lois établissant la reconnaissance de la Nation depuis la Charte des Combattants du 31 mars 1919 qui fût le plus grand hommage rendu à tous ceux qui ont fait l’honneur de la France durant la guerre de 1914-1918 dont nous allons célébrer le Centenaire. Soyez digne de ces hommes qui ont fait la France !
    C’est le vœu Monsieur le Ministre que je vous adresse pour finaliser ce courrier.

    Catégories : Ardennes, Au fil des jours Lien permanent 0 commentaire
  • A propos de la venue de Manuel Valls dans les Ardennes

    Voilà le courrier que Sylvain Dalla Rosa a écrit au maire de Charleville Mézières :

    Monsieur le Maire,
    Vous avez invité le conseil municipal à un « accueil républicain » à l’occasion de la visite de Monsieur Manuel Valls, Ministre de l’Intérieur, qui sera à Charleville-Mézières ce vendredi 7 février. Je vous informe que les élus communistes ne participeront pas à cette initiative. Tout d’abord, en raison de la politique du gouvernement qui n’a de cesse de donner des gages au Medef et aux marchés financiers. Le dernier exemple en date étant les récentes déclarations concernant la fin du financement de la politique familiale par les cotisations sociales. Après les 20 milliards de cadeau à travers le pacte de compétitivité, financés par l’impôt ménage ou la hausse de la TVA, c’est donc une nouvelle baisse de la contribution des entreprises de l’ordre de 30 milliards qui vient d’être annoncée. Cette politique, sans réelles contreparties, pénalise durement les familles ardennaises et ne fait pas baisser le chômage comme le montre les derniers chiffres de l’emploi.
    Il convient d’ajouter à cette gestion libérale les dossiers portés directement par le Ministre de l’intérieur comme le redécoupage des cantons, l’offensive contre les départements ou l’aggravation d’une politique sécuritaire qui se fait au détriment des effectifs policiers présents sur le terrain. Autant de sujets où le débat démocratique est bafoué et où la ligue directrice est la mise à mal des institutions de la République. Tout cela, ajouté au renoncement, ce week end, sur la politique familiale dont Monsieur Valls a été un des principaux protagonistes, entraine chez les élus communistes un sentiment de profonde colère.
    Nous ne pouvons, dans ces conditions, participer à la réception organisée pour accueillir le Ministre de l’Intérieur.

     

    Catégories : Ardennes Lien permanent 0 commentaire