Avec Macron, une justice sociale à l'envers : plus on gagne, plus on sera augmenté !
et cela au détriment des retraités !
Et en engageant la casse de la sécu et de l'assurance chômage !
et cela au détriment des retraités !
Et en engageant la casse de la sécu et de l'assurance chômage !
Partant d'un constat statistique - c'est à dire
déshumanisé - sur les différences de revenus entre jeunes et
vieux, Macron a décidé de prendre aux vieux pour donner aux jeunes
à travers une réforme dont la simplicité dans la communication n'a
d'égal que l'importance de ses effets pervers !
Il supprime des cotisations sociales salariales maladie et chômage des salariés du privé à hauteur de 3,15% (en annonçant des mesures équivalentes pour les fonctionnaires) et les remplace par une hausse de la CSG de 1,7%, soit une augmentation de 1,45% du salaire net. Le bilan en terme de recettes publiques est annoncé nul, puisque la masse sur laquelle est prélevée la CSG est plus importante que la masse salariale, comprenant aussi les revenus du patrimoine, mais surtout les retraites.
Pour résumer simplement, une petite augmentation de salaire va être payée par les retraités.
Cela nécessite quelques commentaires !
Déjà, le constat statistique déshumanisé ne tient pas compte de la diversité des situations : il y a beaucoup de jeunes qui ont des salaires de misère ... mais aussi des inégalités énormes de salaires et l'augmentation prévue, proportionnelle, ne va faire que renforcer ces inégalités !
Et il y a beaucoup de retraités qui sont dans la misère. Macron vous dira qu'il a prévu d'exonérer de l'augmentation de la CSG les plus petites retraites, mais vous avez vu le seuil ?! Quand tant de retraités aident enfants et petits enfants, parce que précisément ils ont une retraite stable, alors que les enfants sont dans la mouise ... sauf que le jeune au chômage ne verra pas son salaire augmenter ... puisqu'il n'en a pas, mais que ses parents verront leurs retraites baisser. Bref, tout cela ne va guère corriger les inégalités.
Et au prix de lourdes menaces pour l'avenir !
Car c'est une nouvelle étape dans le transfert des ressources de la sécurité sociale de la cotisation vers l'impôt, en la déconnectant de la production de richesses, en permettant par exemple que les retraites stagnent même si les richesses du pays augmentent, détournant celles-ci plus facilement vers la rémunération des actionnaires ! De quoi favoriser le succès des assurances privées, des banques avec leurs plans d'épargne retraite et autres mécanismes de privatisation de la protection sociale.
C'est aussi un transfert vers l'impôt de l'assurance chômage, un pas vers la déresponsabilisation des entreprises du chômage dont elles profitent et ce n'est pas la promesse d'indemnisation chômage pour des non salariés qui peut justifier cela. D'autant plus que la menace plane sur les indemnisations.
Pourtant, il est possible de faire tout à fait autrement ! A condition de prendre l'argent où il est, pas chez les retraités qui ont 1300 € de retraite, mais dans les dividendes, l'évasion fiscale.
Et c'est un vrai choix de société : la liberté de l'ultralibéralisme voulu par Macron, la liberté de s'enrichir sur le dos des autres, ou la solidarité, la société des droits pour tous, les services publics ? Est ce qu'on inverse ou non la dérive qui fait que depuis 30 ans, 8 à 10% des richesses produites se sont déplacées de la rémunération des salariés, de ceux qui produisent effectivement ces richesses, vers la rémunération du capital, qui en plus a baissé la part de ses investissements ?
Pour orienter la production des richesses vers l'intérêt public le PCF propose de faire cotiser d"autant plus les entreprises qu'elles paient au lance pierre, polluent ou délocalisent et de faire cotiser les revenus financiers des entreprises aussi, histoire de les pousser à investir plutôt qu'à boursiccoter. Cette dernière mesure (avec une cotisation à hauteur de la cotisation sur les salaires) rapporteraient plus de 40 milliards par an pour la seule assurance maladie, de quoi financer un remboursement de tous les soins prescrits à 100% et donner aux hôpitaux les moyens qui leur manquent.
Il supprime des cotisations sociales salariales maladie et chômage des salariés du privé à hauteur de 3,15% (en annonçant des mesures équivalentes pour les fonctionnaires) et les remplace par une hausse de la CSG de 1,7%, soit une augmentation de 1,45% du salaire net. Le bilan en terme de recettes publiques est annoncé nul, puisque la masse sur laquelle est prélevée la CSG est plus importante que la masse salariale, comprenant aussi les revenus du patrimoine, mais surtout les retraites.
Pour résumer simplement, une petite augmentation de salaire va être payée par les retraités.
Cela nécessite quelques commentaires !
Déjà, le constat statistique déshumanisé ne tient pas compte de la diversité des situations : il y a beaucoup de jeunes qui ont des salaires de misère ... mais aussi des inégalités énormes de salaires et l'augmentation prévue, proportionnelle, ne va faire que renforcer ces inégalités !
Et il y a beaucoup de retraités qui sont dans la misère. Macron vous dira qu'il a prévu d'exonérer de l'augmentation de la CSG les plus petites retraites, mais vous avez vu le seuil ?! Quand tant de retraités aident enfants et petits enfants, parce que précisément ils ont une retraite stable, alors que les enfants sont dans la mouise ... sauf que le jeune au chômage ne verra pas son salaire augmenter ... puisqu'il n'en a pas, mais que ses parents verront leurs retraites baisser. Bref, tout cela ne va guère corriger les inégalités.
Et au prix de lourdes menaces pour l'avenir !
Car c'est une nouvelle étape dans le transfert des ressources de la sécurité sociale de la cotisation vers l'impôt, en la déconnectant de la production de richesses, en permettant par exemple que les retraites stagnent même si les richesses du pays augmentent, détournant celles-ci plus facilement vers la rémunération des actionnaires ! De quoi favoriser le succès des assurances privées, des banques avec leurs plans d'épargne retraite et autres mécanismes de privatisation de la protection sociale.
C'est aussi un transfert vers l'impôt de l'assurance chômage, un pas vers la déresponsabilisation des entreprises du chômage dont elles profitent et ce n'est pas la promesse d'indemnisation chômage pour des non salariés qui peut justifier cela. D'autant plus que la menace plane sur les indemnisations.
Pourtant, il est possible de faire tout à fait autrement ! A condition de prendre l'argent où il est, pas chez les retraités qui ont 1300 € de retraite, mais dans les dividendes, l'évasion fiscale.
Et c'est un vrai choix de société : la liberté de l'ultralibéralisme voulu par Macron, la liberté de s'enrichir sur le dos des autres, ou la solidarité, la société des droits pour tous, les services publics ? Est ce qu'on inverse ou non la dérive qui fait que depuis 30 ans, 8 à 10% des richesses produites se sont déplacées de la rémunération des salariés, de ceux qui produisent effectivement ces richesses, vers la rémunération du capital, qui en plus a baissé la part de ses investissements ?
Pour orienter la production des richesses vers l'intérêt public le PCF propose de faire cotiser d"autant plus les entreprises qu'elles paient au lance pierre, polluent ou délocalisent et de faire cotiser les revenus financiers des entreprises aussi, histoire de les pousser à investir plutôt qu'à boursiccoter. Cette dernière mesure (avec une cotisation à hauteur de la cotisation sur les salaires) rapporteraient plus de 40 milliards par an pour la seule assurance maladie, de quoi financer un remboursement de tous les soins prescrits à 100% et donner aux hôpitaux les moyens qui leur manquent.
Le 11 juin, votez pour les
candidats du PCF
les candidats de l'insoumission au système capitaliste
Les candidats qui veulent augmenter votre pouvoir d'achat, pas ceux des plus riches
Les candidats qui veulent prendre l'argent où il est : dans la poche des actionnaires
Les candidats qui veulent renforcer la sécurité sociale, pas la privatiser !
Dans les Ardennes, votez pour Sylvain DALLA ROSA (Mézières/Rethel), Igor NIVELET (Charleville/Givet), Dalila MAOUCHE (Sedan/Vouziers)
les candidats de l'insoumission au système capitaliste
Les candidats qui veulent augmenter votre pouvoir d'achat, pas ceux des plus riches
Les candidats qui veulent prendre l'argent où il est : dans la poche des actionnaires
Les candidats qui veulent renforcer la sécurité sociale, pas la privatiser !
Dans les Ardennes, votez pour Sylvain DALLA ROSA (Mézières/Rethel), Igor NIVELET (Charleville/Givet), Dalila MAOUCHE (Sedan/Vouziers)