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Ardennes - Page 27

  • La santé au coeur des préoccupations des candidats de "Nos vies d'abord"

    La santé n'est pas une compétence des régions, et nous y tenons : c'est un gage de l'égalité des Français.
    Mais cela n'empêche évidemment pas les élus de se préoccuper de ce qui est la deuxième préoccupation des Français après celle de l'emploi. Et ce qui intéresse les candidats de "Nos vies d'abord", c'est tout ce qui touche à la vie de tous les jours, car c'est bien sur cela qu'il faut agir !
    D'autant plus que le conseil régional est représenté dans des instances, consulté sur certains sujets ... et a à sa charge les formations paramédicales !
    Sous l'impulsion des élus communistes, le conseil régional de Champagne Ardenne avait voté contre le plan régional de santé. Seul, il n'a pas été entendu. Mais si toutes les collectivités en avaient fait de même, la donne aurait pu être différente !
    Vendredi 20 novembre, avec Patrick Péron, tête de la liste "Nos vies d'abord", Franck Tuot, tête de liste dans les Ardennes, Igor Nivelet, Françoise Carette, nous avons rencontré à Givet l'ASMUP (Association pour les soins médicaux urgents de la Pointe). Simone Gérard, sa présidente, nous a dit ses combats, pour l'accès au pharmacien le week end, pour la prise en charge des soins non programmés à l'hôpital de Fumay, pour le maintien des taxis à la demande (qui servaient tant pour les personnes âgées pour se rendre en consultation et Belgique et scandaleusement supprimés par le président de la comcom Bernard Dekens - pour mémoire candidat sur la liste de droite à ces élections) et pour que la frontière ne pose pas tant de difficultés en cas de décès en Belgique : comme quoi la suppression des frontières, c'est pour les capitaux, pas pour les gens ! Nous avons aussi discuté de la volonté de retour en arrière des autorités par rapport à l'accès aux soins en Belgique, liée uniquement à la mise en concurrence des hôpitaux, sommés de faire du chiffre au détriment de la qualité de la réponse aux besoins des populations. La ténacité de l'ASMUP lui a permis d'être présente dans les discussions autour du contrat local de santé : comme quoi l'intervention citoyenne paie !
    sedan.jpgCe samedi nous tenions une réunion à Sedan. Sur la photo, vous pouvez voir trois des candidates de la liste, de gauche à droite, Claudette Moraine, Françoise Carette, Sophie Perrin, mais il y avait aussi Franck Tuot, Christine Caruzzi. Après un rappel sur la dangerosité de la loi Touraine, qui aggrave en fait la loi Bachelot, avec la constitution de groupements hospitaliers de territoire, obligatoires, antidémocratiques ( dans ce cadre, il y a d'ailleurs un risque majeur pour la maternité de Sedan), l'autorisation donnée au gouvernement de légiférer par ordonnances sur tout une série de sujets et sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2016, un budget d'austérité, mais aussi un projet de loi menaçant pour l'avenir de la sécurité sociale, la protection universelle maladie annoncée étant les prémices d'une prise en charge minimale à compléter, pour ceux qui le peuvent, par une mutuelle ou une assurance, un très riche débat s'est engagé entre les participants.
    Un élément sur la maternité de Sedan pour commencer: elle a été rétrogradée pendant le mois d'Août une petite quinzaine de jours en niveau 1. C'est assez ahurissant, puisque l'organisation prévoit que les femmes dont les grossesses sont compliquées sont prévenues qu'elles doivent aller accoucher dans une maternité de niveau 2 ou 3 (selon le cas). Là, pas d'information, mais l'ARS s'est couverte, parce qu'il n'y avait pas de pédiatre !
    Débat sur la réduction des durées d'hospitalisation, avec des sorties imposées, pas préparées et une augmentation des restes à charge financiers pour les patients.
    Débat sur la casse globale des services publics, avec le constat que les hôpitaux, c'est comme l'Education Nationale.
    Débat sur la santé des étudiants, et cette chose inadmissible, c'est qu'alors qu'ils ne gagnent pas d'argent, ils doivent payer la sécurité sociale.
    Débat sur les mutuelles avec le directeur de la Mutuelle Santé 08 qui a raconté toute la casse actuelle des mutuelles de proximité, respectant les principes mutualistes de l'absence de profits. Pour lui, le remboursement des soins à 100% par la sécurité sociale est une exigence. Elle est portée par les candidats de la liste !

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  • Le 20 novembre, on reçoit Patrick Péron dans les Ardennes

    Réunion débat à 18 h salle Dubedout (quartier de la Ronde Couture à Charleville Mézières)
    Le détail de la journée, qui commencera sur le marché de Givet, sera communiqué dans les jours prochains.
    Pour les candidats de "Nos vies d'abord", pas question de faire payer aux plus modestes la facture de l'austérité !!!
    Comme partout les Ardennais aspirent à s'épanouir dans leur vie sociale et familiale. Nous voulons un conseil régional qui réduise les inégalités, sociales, territoriales et prenne en compte les questions écologiques. Cette grande région qui vient d'être créée, ne va pas favoriser la proximité des citoyens, des élus, ni des instances décisionnelles. Prenons nos affaires en main : développons les assemblées citoyennes pour mettre en place un contrôle citoyen des décisions !
    L'emploi : priorité absolue !!!
    Qu'on soit jeune ou plus âgé, la précarité s'installe, les entreprises ferment les unes après les autres. Le département se meurt. Cela ne peut continuer ainsi. Notre économie locale a besoin d'être soutenue et l'Assemblée Régionale doit être un levier positif pour la création d'emplois et le développement économique. Les aides aux entreprises seront surveillées de près. À l'heure où la planète est en danger, c'est le moment de changer de cap pour la transition énergétique : isolation de bâtiments, constructions autosuffisantes, transports en commun modernes et économes en énergie, développement de la Recherche pour améliorer encore et encore les performances techniques, orientation et formation des jeunes allant dans ce sens, agriculture paysanne saine et favorisant les circuits courts, services publics à redévelopper pour moins de coût pour les usagers et plus d'égalité... Il est possible de créer de nouveaux emplois
    Mais au fait, qui sont les candidats ?
    Franck Tuot, conseiller régional sortant
    et je peux vous assurer qu'il en a suivi des dossiers depuis 2010 !
    Sophie Perrin, militante écologiste, directrice d'école rurale
    Michel Cuchet, conseiller municipal de Nouzonville
    Christine Caruzzi, secrétaire du syndicat CGT de l'hôpital Manchester
    Igor Nivelet de Revin
    Françoise Carette, conseillère municipale de Hierges et conseillère communautaire
    Edouard Jacottin - Charleville Mézières
    Galina Macquart - Attigny
    Fabien Tombois - Signy l'Abbaye
    Claudette Moraine - Bazeilles
    Roger Dizy - Rocquigny

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  • Maudite soit la guerre et les fauteurs de guerre.

    Un rassemblement a eu lieu ce matin devant le monument aux morts de Charleville-Mézières à l'initiative de la Libre Pensée, du PCF, du PG, du POI et de la CGT pour demander la réhabilitation collective des fusillés pour l'exemple : en ces années du centenaire de cette guerre meurtrière, il y a urgence à cette réhabilitation.
    Vous pouvez voir à la fin de la vidéo la présence de candidats de la liste "Nos vies d'abord" conduite par Patrick Péron : Franck Tuot, Claudette Moraine, Roger Dizy, Igor Nivelet, mais j'ai vu aussi Sophie Perrin, Christine Caruzzi dans la foule.
    Car le refus de la guerre, la reconnaissance du rôle majeur du capitalisme dans ce conflit, font partie des marqueurs de cette liste : nos vies d'abord, l'humain d'abord avant les jeux financiers, avant ces volontés de dominer le monde !

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  • Fusillés pour l'exemple : rassemblement pour leur réhabilitation collective le 11 novembre.

    Mercredi 11 novembre à 11 h
    devant le monument au morts de la place de l'hôtel de ville de Mézières.
    avec dépôt d’une gerbe avec l’inscription : "Réhabilitation collective des fusillés pour l’exemple, maudite soit la guerre et les fauteurs de guerres"
    Ce rassemblement est organisé par la Libre Pensée, le PCF, le POI, le Parti de Gauche, l’UD CGT.
    Ces organisations appellent toutes celles et tous ceux qui sont attachés à la justice, à une certaine conception de la République, de ce mobiliser encore plus et de faire de ce 11 Novembre 2015 une force qui emportera la décision de réhabilitation.
    En 4 ans de guerre, 2400 « poilus » ont été condamnés à mort et près de 650 ont été exécutés pour désobéissance militaire, les autres voyant leur peine commuée en travaux forcés. Tel est le bilan d’une justice d’exception inhumaine pendant la guerre de 1914-1918. Parce qu’ils étaient qualifiés de « meneurs » parce qu’ils étaient militants syndicalistes, anarchistes, socialistes, pacifistes et que des généraux voulaient faire un exemple pour terroriser la troupe. Entre 1920 et 1935, une quarantaine de soldats ont été réhabilités.
    L’Union sacrée « patriotique » constituée avec le sang de Jean Jaurès, premier exécuté pour l’exemple de la grande boucherie, commandait que les généraux se battent jusqu'à la dernière goutte de sang des autres : 650 soldats français sont tombés sous les balles françaises, morts par la France.
    Malgré ses engagements de faire procéder à une réhabilitation collective, François Hollande, dans un discours de reniement, tournait le dos à cette demande de justice. Quant aux parlementaires, la plupart restent sourds, font diversion en refusant cette réhabilitation collective. De ce fait, la tache sur l’honneur de la République n’a pas été effacée. Pourtant, elle devra l’être. Avec force et détermination, nous l’obtiendrons.
    « On croyait mourir pour la Patrie, on mourrait pour des marchands de canons »Anatole France
    NON à la Réhabilitation au cas par cas. OUI à la Réhabilitation Collective pleine et entière.

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  • Nos vies d'abord !

    Nos vies avant leurs profits
    Nos vies avant leurs activités démoniaques pour notre planète
    Nos vies avant leur autocratie
    Nos vies d'abord : c'est le titre de la liste que s'est donné le large rassemblement de citoyens et de partis politiques (par ordre alphabétique, Ensemble!, Mouvement Républicain et Citoyen, Nouvelle Gauche Socialiste, Parti Communiste Français, Parti de Gauche) qui va briguer le suffrage des électeurs le 6 décembre prochain dans cette immense région, de Strasbourg et Mulhouse à Reims, Langres et Givet avec un programme pour toutes et tous, pour tous les territoires, à l'opposé des politiques d'opposition des pauvres entre eux, avec une pseudo charité vis à vis des plus démunis, qui ne fait que les stigmatiser et mécontenter à juste titre tous ceux qui sont juste au dessus du seuil de pauvreté, à l'opposé de l'organisation du territoire français, voulue dans cette réforme territoriale, autour des grandes métropoles, chez nous Strasbourg, abandonnant les départements périphériques pour faire des économies de services publics.
    Un rassemblement divers dans lequel la passion mise à défendre ses idées par les uns et les autres promet des débats constructifs, car tout le monde n'est pas d'accord sur tout. Heureusement !
    Mais avec un accord sur des points essentiels :
    - l'urgence sociale : un pour cent de la population mondiale possède la moitié des richesses ! Et l'on peut décliner cela sans problème dans notre pays. Une autre répartition des richesses est possible. Elle est urgente et les discours rabâchés par les médias de plus en plus financés par les grands groupes appelant aux économies n'ont comme seul but de mieux faire passer la pilule des réductions de services publics, des réductions de salaires ou retraites ... Dans le rassemblement de Nos vies d'abord, l'accord est unanime sur la condamnation de cette austérité.
    - l'urgence écologique : le réchauffement climatique impose des mesures et le principal obstacle à une vraie politique limitant le réchauffement climatique, c'est le capitalisme et ses profits ... comme d'ailleurs pour les pollutions diverses et autres atteintes à l'environnement.
    - l'urgence démocratique : le mépris pour l'avis des citoyens, comme cela a été le cas pour le référendum de 2005, ça suffit ! Les discours mensongers de trop d'élus, ça suffit ! Le recul du politique devant l'économie, devant les profits pousse trop de nos concitoyens vers le repli sur soi, quand ce n'est pas vers les idées nauséabondes du FHaine.
    Ces trois points essentiels de ce rassemblement social, écologique et citoyen suffisent à eux seuls à expliquer pourquoi le rassemblement avec ceux qui trahissent la gauche ne sont pas possible, n'en déplaise à l'appareil du PS qui a fait ce week end dans la communication avec son référendum à défaut de pouvoir faire une campagne électorale sur le bilan du gouvernement. Leur gôche n'est pas la notre !
    Et sans renier ce qui a pu être fait en Lorraine et en Champagne Ardenne par les majorités sortantes et en particulier par leurs élus communistes : sauf que la politique gouvernementale rend impossible de continuer ensemble, non pas par principe idéologique, mais tout simplement parce qu'elle s'oppose à toute politique de progrès, ne respecte pas les prérogatives des collectivités et limite leur moyens financiers. En 2010, nous étions, ensemble, opposé à la politique des Sarkozy/Fillon. Depuis 2012, il faut composer avec des suppôts du gouvernement !
    La campagne est commencée : sur la photo, vous pouvez voir Patrick Péron, tête de liste régionale en compagnie de Franck Tuot, tête de liste dans les Ardennes.

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