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Champagne Ardenne - Page 12

  • Commission permanente au conseil régional : formation, associations, ligne Charleville/Givet ...

    Commençons par la formation : dans les dossiers présentés aujourd'hui, je voudrais parler de ceux, présentés maintenant chaque année, concernant l'Economie Sociale et Solidaire et tout particulièrement les associations, constituant tout un ensemble constitué progressivement avec la filière universitaire d'Administration et de Gestion des Entreprises de l'Economie sociale et solidaire (DAGEES), la plateforme de formation des bénévoles et salariés des associations, et les formations actions de soutien aux têtes de réseaux associatifs.

    Pour détailler ces dispositifs ou au moins les deux derniers :

    - la plateforme de formation des salariés et des bénévoles des associations permet aux responsables des associations de se former gratuitement dans des domaines aussi variés que la comptabilité ou la création de sites internet, avec cette particularité que peuvent être accueillis ensemble les administrateurs bénévoles et les salariés, facilitant l'échange. Cette plateforme est financée entièrement par le conseil régional et portée par la CRESCA (Chambre régionale de l'Economie Sociale de Champagne Ardenne). Pour en savoir plus, vous pouvez aller voir sur le site de la CRESCA en cliquant ici.

    - les formations actions de soutien aux têtes de réseaux associatifs sont le fruit d'un accord entre le conseil régional et la DJRSCS (avec donc des financements état et région) pour soutenir des réseaux associatifs (et le travail interréseau) dans le développement de projet de territoires favorisant le mieux vivre ensemble et l'engagement bénévole. Cela a permis des projets fort intéressants les années précédentes. Concrètement, il va y avoir dans quelques jours, maintenant que cela a été voté par la commission permanente, publication d'un appel à manifestation d'intérêt, comme les années précédentes auquel doivent répondre les réseaux associatifs souhaitant bénéficier de ce soutien.

    Il y a quelques jours, nous avons eu une réunion avec le directeur régional de la DRJSCS, la présidente de la CRESCA, le responsable du mouvement associatif et celui du CRAJEP pour travailler à l'argumentation de l'intérêt de l'appel à manifestation d'intérêt en prévision de la création de la grande région (les services de l'état ne sont concernés que par ce dernier dispositf). Je résumerai par un commentaire que j'ai entendu : "là où ailleurs il n'y a que du quantitatif, l'ensemble de ces dispositifs nous a permis un saut qualitatif." Je retiens avec plaisir cette expression, bilan d'un travail que j'ai effectué avec constance depuis 2004, à l'écoute du milieu associatif pour voir ce que le conseil régional pouvait apporter et traduire les demandes en actions concrètes, avec ce que cela impliquait de travailler au niveau régional, c'est à dire non en soutien direct à chaque association - c'est le rôle des collectivités locales - mais en aide à la structuration et à partir des compétences régionales, la formation.

    Deuxième sujet annoncé dans le titre de cet article, beaucoup plus politicard : à l'ordre du jour de la commission permanente un avenant à la convention TER a donné lieu à un débat de bas niveau : un élu UMP nous a lu les commentaires de B. Dekens, membre de la commission transport du conseil régional, mais pas de la commission permanente, mettant en cause le fonctionnement de la commission et demandant à son groupe de voter contre cet avenant. Les dysfonctionnements de la ligne Givet/Charleville, car c'est bien cela essentiellement qui intéresse le président de la communauté de communes Ardennes Rives de Meuse, on les connaît tous ! Mais B. Dekens se trompe de colère : ce n'est pas le conseil régional la cause, mais bien la SNCF et RFF avec le retard pris à l'entretien de la ligne et le manque de personnel et la convention entre la région et la SNCF avec ses multiples avenants, dont celui d'aujourd'hui encadre précisément la SNCF pour limiter les dysfonctionnements : bref un vote démagogique et politicard !

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  • Commission permanente du conseil régional : formation professionnelle et lycées.

    Avant de parler formation, parlons lycées et culture pour dire ma satisfaction que la convention liant le rectorat, la DRAC et le conseil régional soit améliorée pour, tout en soulignant l'intérêt des établissements culturels en région, laisser un peu de souplesse pour que les lycéens puissent aussi profiter d'équipements culturels de proximité, même s'ils sont dans d'autres régions : j'avais été alertée par le lycée de Givet à ce sujet et je m'en été ouverte aux services de la région cette semaine, déçue de ne pas retrouver dans le projet de convention cette souplesse que l'on m'avait promis en décembre. Comme je l'ai dit en commission permanente, au delà de la question spécifique, c'est le sens que l'on donne à la décentralisation qui est en cause, une décentralisation qui construit des régions qui s'isolent (et en l’occurrence, ce serait stupide, si on extrapole cette convention à la future grande région que l'on permette à un lycéen de Langres d'assister à un spectacle à Strasbourg en lui interdisant Dijon ) ou une décentralisation qui permet de progresser par la démocratie, comme dans le cas présent en écoutant ce qu'ont à nous dire les lycées (avec d'ailleurs toute l'inquiétude que l'on peut avoir par rapport à la démocratie dans la future grande région !). Satisfaction donc que le président Bachy annonce l'amélioration du texte qui avait été proposé.

    Dans le domaine de la formation je voudrais souligner deux délibérations du jour qui sortent de la routine. La première, c'est le lancement du dispositif Tonic. C'est une nouveauté parce que c'est le résultat de la décentralisation aux régions de ce que l'état faisait encore en terme de formation, en particulier du dispositif compétences clés à destination prioritairement des demandeurs d'emploi. Cela doit représenter un vrai progrès en terme de parcours de formation en intégrant mieux le réapprentissage des savoirs de base à la formation professionnelle. Pour donner un exemple, je suis toujours profondément marquée par le désespoir de demandeurs d'emploi, orientés vers une formation qualifiante par Pôle Emploi et refusé par l'organisme de formation après des tests : cela doit leur permettre de trouver une porte de sortie et de mieux se préparer à l'entrée en formation qualifiante.

    La deuxième délibération dont je souhaitais parler concerne la formation ouverte à distance, avec pour but, à partir de l'expérience des chèques formation (qui avait été envisagée à toute petite échelle et avit connu un succès dépassant les moyens mis en oeuvre), de développer une vraie offre de formation à distance en région avec à la fois une offre de formation plus conséquente et des lieux d'accueil pour être acccompagné dans cette formation à distance à travers un appel à projet "Labellisation des e-Espaces métiers en Champagne Ardenne" qui remplaceront les Points d'accès à la téléformation.

    Catégories : Champagne Ardenne, Education, formation Lien permanent 0 commentaire
  • France 3, les "politiques" et la journée de la femme !

    C'est sans doute parce que le 8 mars n'est que demain ! Et que malheureusement, la journée internationale de la femme a encore toute sa raison d'être, puisque l'égalité est encore loin d'être réelle !

    C'est sans doute parce que le 8 mars n'est que demain ! Pourtant, avez vous vu la pub "Les femmes sont à l'honneur sur France Télévision du 2 au 8 mars". Mais ce midi sur France 3 Champagne Ardenne, dans l'émission La voie est libre consacrée aux élections départementales dans la Marne, quatre hommes ! La semaine dernière, dans la même émission mais consacrée aux Ardennes, une seule femme sur les quatre invités, Ingrid Lempereur, candidate du PCF et du Front de Gauche aux élections départementales à Revin. Heureusement qu'il y a des femmes communistes ! Car apparemment les autres partis ont honte de leurs femmes !

    Censure aux femmes sur France 3, malgré la pub !

    Censure aussi aux candidats du Front de Gauche : aucun dans l'émission consacrée à la Haute Marne, aucun aujourd'hui, juste Ingrid la semaine dernière.

    Et apparemment, sauf au PCF et au Front de Gauche, le machisme est très fort !

    Catégories : Ardennes, Champagne Ardenne Lien permanent 3 commentaires
  • Syriza, commission permanente du conseil régional, lycée de Revin

    Beaucoup de choses dans la tête ce soir et je vais donc vous faire un article dont tous les spécialistes de la com. vous diront qu'il est mauvais, trop long, parlant de tout, mais trop souvent, comme je ne sais par quoi commencer, par peur d'écrire trop long, je n'écris rien !

    Les kilomètres en voiture, cela permet d'écouter la radio et aujourd'hui, avec la victoire de Syriza en Grèce, on était servi, du tout le monde se félicite du matin aux mises en garde de la soirée. Au moins une chose est sure : l'Europe a compris que la donne était changée avec cette victoire, que le peuple grec donnait le signal que l'austérité est insupportable, que d'autres voies sont possibles ! Dans les âneries sur les perspectives en France, j'ai entendu parlé des élections régionales comme d'un premier moment où le peuple français pourrait dire son refus de l'austérité, sauf qu'il n'y a pas besoin d'attendre décembre : il y a les élections départementales en mars ! Voter pour les candidats du PCF, pour les candidats du Front de Gauche, c'est l'occasion de donner un signal fort au gouvernement : non, nous ne voulons pas de la droite en France, mais non, nous ne voulons pas non plus d'un social libéralisme qui fait des cadeaux au patronat. Une vraie politique de gauche est possible avec des élus qui se battent avec les citoyens contre l'austérité qui étrangle les départements, avec des élus qui défendent les services publics, avec des élus qui promeuvent une politique sociale de haut niveau, avec des élus qui organisent une démocratie de proximité !

    Dans les absurdités, j'ai entendu les menaces pour le peuple français : revenir sur la dette des Grecs, ça serait la faire payer aux Français, sauf que la dette grecque, elle n'est pas contractée auprès de la France, mais auprès des banques ! Des banques qui se sont déjà fait payer auprès de la Grèce par des taux d'intérêt exorbitants ! Rappelez vous, l'Islande, elle a refusé les dettes illégitimes. Vous allez me dire, l'Islande, ce n'est pas l'Europe. Mais ce sont les mêmes banques ! Ce n'est pas ça qui a aggravé nos conditions de vie !

    Et au chapitre mise en garde, j'ai entendu l'expression officielle de la France ! Alors que le gouvernement français pourrait s'appuyer sur la situation en Grèce pour renégocier les accords européens au service de la finance, il appelle au respect des accords passés !

    Mais les peuples européens sauront où est leur intérêt : dans le soutien à Syriza, contre la commission européenne, les Merkel & Co, qui prônent l'austérité pour les peuples, pas pour les capitaux !

    Des kilomètres en voiture pour aller à la commission permanente du conseil régional. Jamais vu une commission permanente aussi courte : 1 h 3/4 pour voter 52 millions d'euros de dépenses ! Certes, cette première commission permanente de l'année statuait surtout sur des dépenses faites tous les ans et l'essentiel portait sur les dépenses liées à l'apprentissage et aux formations sanitaires et sociales mais la commission permanente pourrait être l'occasion d'échanges. Là, ce n'a été qu'une chambre d'enregistrement. Pourtant, il y avait un sujet intéressant : la carte des enseignements professionnels, à la fois dans les lycées et en apprentissage. Je ne vous redirais pas l'intervention que j'y ai faite : elle reprenait l'essentiel de ce que j'ai dit au CAEN et que vous pouvez retrouver en cliquant ici. En sortant, une élue m'a dit sa déception de ne pas retrouver la proposition du lycée où elle siège en tant que représentante de la région. Mais pourquoi ne l'a-t-elle pas dit publiquement ? Intervenir et non subir ! Evidemment, on ne peut compter sur les arguments du rectorat pour défendre des projets d'ouverture qu'il ne soutient pas ! J'ai soutenu un projet d'ouverture de section sur Romilly, avec quelques espoirs de succès puisqu'il est passé du statut de projet refusé au statut d'ouverture sous condition de moyens. Pourquoi ? Tout simplement parce que la communauté éducative de ce lycée s'est remuée, m'a fourni les arguments !

    La commission permanente, c'est toujours de multiples dossiers et comme d'autres fois, je ne vais vous en citer que certains : une dotation au lycée Bazin pour améliorer l'installation pour la formation éolienne, des contributions au programme de solidarité urbaine à Nouzonville et Bogny sur Meuse pour l'amélioration de logements, une subvention à Givet pour des travaux dans le cadre de la lutte contre les inondations ... Je ferai une mention particulière pour une petite subvention : 5000 € pour la Régie de Quartier à la Ronde Couture pour mener une action pour faciliter l'accès à l'emploi de femmes, parce que j'ai contribué à la mise en relation : heureusement qu'il y a des communistes pour travailler sur la question des femmes et de l'emploi ! Comme heureusement qu'il y a des communistes pour relayer les luttes sur la carte scolaire !

    Des kilomètres pour aller au conseil d'administration du lycée de Revin ! Et des satisfactions ! Intervenir et non subir, j'écrivais plus haut. C'est apparemment ce à quoi se sont décidés les profs de cet établissement. et il y a de quoi ! Conséquence des politiques d'austérité de notre gouvernement et des suppressions de postes d'enseignants dans notre région, il y aurait une classe de seconde de moins et donc des effectifs par classe fort élevés, car il faut bien que le Recteur trouve où retirer ces postes ! C'est tombé sur Revin argumenté sur une grossière sous estimation du nombre d'élèves à la future rentrée. Triste pays où l'austérité a pour conséquence de ne pas investir dans la formation de nos jeunes.

    Le peuple grec nous montre le chemin de l'espoir !

     

    Catégories : Ardennes, Au fil des jours, Champagne Ardenne, Education, formation Lien permanent 1 commentaire
  • CAEN : l'enseignement professionnel doit servir à l'émancipation

    11janvier.jpgUn peu difficile de reprendre ce blog : j'ai à la fois tant à dire sur les évènements de cette dernière semaine, la colère, le chagrin devant ces morts injustes, le réconfort des marches du week end ... mais tant d'autres disent tout cela mieux que moi qui ai du mal à mettre en mots, alors, je m'étais contentée du service minimum pour informer sur les initiatives locales, remettant toujours à demain d'en exprimer plus, et je ne le ferai pas ce soir, ni sans doute dans les jours à venir : tant d'autres disent mieux que moi !

    Le meilleur hommage aux morts de Charlie Hebdo est de continuer leur lutte pour une société plus juste !

    Permettez moi donc d'enchaîner sur le sujet du jour, le Conseil Académique de l'Education Nationale qui devait entre autre donner son avis sur la carte des formations professionnelles à la rentrée prochaine. Voilà en substance l'intervention que j'y ai fait :

    Il y a un enjeu majeur pour nos jeunes à  avoir la formation initiale la plus large possible. Nous ne savons pas quelle sera la société de demain, mais nous savons qu'elle sera de plus en plus compliquée.
    L'éducation est facteur d'émancipation et je ne reviendrais pas sur tout ce qui a pu être dit sur le rôle de l'éducation dans le vivre ensemble tant à l'ordre du jour actuellement.
    Les jeunes ont besoin pour adhérer à l'école de comprendre en quoi cela les aide à s'émanciper et cela à partir d'une accroche diverse selon les jeunes, qui peut être la culture, le sport, la découverte scientifique , la vie citoyenne, qui est bien évidemment pour certains le travail , le travail vu sous son aspect noble : comment prend on sa part dans l'activité humaine pour satisfaire les besoins des hommes et des femmes
    Pour adhérer au lycée certains de nos jeunes ont besoin, même s'ils n'ont pas stabilisé un projet professionnel, de se confronter à un enseignement professionnel et là où ils ont envie, pas là où on les inscrit par défaut, si nous ne voulons pas qu'ils décrochent parce qu'ils ne comprennent pas ce que le lycée va leur apporter
    C'est pourquoi, le passage de la décision finale sur la carte scolaire du Recteur au président du conseil régional, outre l'hypocrisie que c'est sous réserve des moyens de l'Education Nationale, ne peut pas se traduire par une adaptation à la demande économique régionale actuelle même si le dialogue avec les branches professionnelles est fondamental, ne serait ce que pour suivre les évolutions professionnelles. Elle doit répondre aux aspirations des jeunes, même s'il est sans doute nécessaire qu'on les aide à évoluer dans leurs projets au cours de leurs scolarité. Elle doit répondre aussi aux besoins non pas de demain, mais à ceux d'après demain !
    C'est pour cela qu'à mon sens, rien que le taux de tension sur le bac pro ASSP dans l'Aube justifie cette création sur Romilly, d'autant plus que l'on sait que dans les décennies à venir, il y aura des besoins dans ce domaine des services à la personne, nécessitant des personnes de plus en plus qualifiées. Rien que le taux de tension, (le nombre important de jeunes souhaitant s'orienter vers cette filière par rapport aux places existantes) justifie cette création si on veut vraiment amener plus de jeunes vers le bac et c'est indispensable, car il ne faut pas affecter par défaut les jeunes. Comme cela a été annoncé pour ce projet comme pour d'autres enseignements, la seconde professionnelle " métiers de l'industrie" au lycée Bazin par exemple, il est bien que ce soit indifférencié pour ouvrir le champ des possibles pour ces jeunes.
    J'insiste sur la nécessité de l'ouverture de cette section, m'inscrivant dans une démarche du possible dans le cadre contraint. Mais je regrette ce cadre contraint : l'austérité de mise actuellement ruine l'avenir de notre pays et d'autres ouvertures seraient nécessaires comme la CGT l'a exprimé. D'ailleurs, je ne me suis pas inscrite dans le débat précédent, mais il est tout à fait anormal que les réductions de moyens conduisent à opposer enseignement primaire et secondaire, collèges et lycées et je proteste par exemple contre la suppression d'une classe de seconde qui serait envisagée au lycée de Revin, ce qui amènerait les effectifs des classes à 35, 36 alors que l'on connait la situation sociale particulièrement difficile dans ce bassin de population.

    Quelques éléments pour compléter cette intervention :

    - tout d'abord redire mon souhait que l'Education Nationale retravaille son référentiel du bac pro ASSP mais c'est actuellement la seule voie offerte dans ce domaine là à un jeune de 15, 16 ans.

    - donner ensuite des informations annoncées au cours de cette réunion du CAEN : l'académie aura 14 postes de moins dans l'enseignement secondaire à la rentrée prochaine et le Recteur juge nécessaire de donner plus de moyens dans les lycées au détriment des collèges, considérant que des classes de seconde de 35, 36 c'est trop. De ce point de vue, il a raison, mais avec quelles conséquences pour les collèges ! Seules bonnes nouvelles : il y aurait création de 3 postes de CPE et de 2 d'assistantes sociales.

    Pour terminer, quelques mots sur ma dernière intervention à propos de la carte de l'apprentissage, quand le MEDEF s'est plaint du refus d'ouverture au CFA de l'industrie à Reims : j'ai expliqué qu'il y avait besoin, avant toute ouverture de travailler à la cohérence des formations post bac dans ce domaine et que la balle était dans le camps de la branche professionnelle : nous sommes en train de travailler à l'élaboration d'un contrat d'objectif et de moyens dans la métallurgie, mais l'UIMM freine toute concertation !

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