La loi Touraine, promulguée au journal officiel
d'aujourd'hui, est lourde de menaces, vis à vis des hôpitaux par
exemple.
Il y avait une chose positive, même si la mise en oeuvre annoncée était aussi lourde de menaces, c'était le tiers payant ! Cela avait au moins l'avantage de répondre à un besoin, celui de toutes celles et ceux qui hésitent à aller voir le médecin, car il faut faire l'avance des frais. C'était bien insuffisant et on aurait aimé que la loi supprime aussi les franchises par exemple, tout ce qui fait que les restes à charge entrainent des refus de soins, des retards, d'ailleurs facteur de dépenses supplémentaires pour la sécu pour cause d'aggravation de la maladie. Mais c'était mieux que rien !
Et nous n'allons avoir qu'une demi-mesure, puisque le conseil constitutionnel a censuré ce qui correspond au tiers payant pour la partie mutuelle et qu'il va encore falloir payer chez le médecin le ticket modérateur, avant de se faire rembourser par sa mutuelle.
La Ministre s'en contente, à croire qu'elle espérait cet avis du conseil constitutionnel pour se sortir de l'impasse dans laquelle elle s'était mise ! Car les médecins ont raison de dire que la gestion du tiers payant est compliqué, et les mécanismes envisagés étaient mortifères, par le rôle accordé y compris à des assurances privées : c'était un pas de plus vers la marchandisation de la protection sociale !
Mais il y a une solution pour un tiers payant de progrès véritable ! Le PCF la propose depuis longtemps : le remboursement à 100% par la Sécurité Sociale des soins prescrits. Le bon sens de cette proposition fait qu'elle est de plus en plus reprise. Et ne dites pas que ça va couter cher ! Les patrons participent déjà au financement des complémentaires : ce financement pourrait aller dans les caisses de la sécu. Evidemment pour eux, ce n'est pas pareil et ils préfèrent financer une complémentaire alimentant les comptes d'une banque privée que la sécurité sociale, de l'argent public, qui appartient à nous tous !
A la suite de la manifestation de Guéret de mai dernier sur les services publics, les organisations participantes à la convergence des services publics dans les Ardennes avaient décidé de s'inscrire dans la démarche des assises des services publics du XXIème siècle en commençant par une conférence-débat sur ce bien commun qu'est la Sécurité Sociale, une manière pour elles de fêter les 70 ans de ce progrès essentiel de notre société, créée à l'initiative d'Ambroize Croizat, ministre communiste à la libération : un anniversaire pour rappeler toute son actualité !
Il y avait une chose positive, même si la mise en oeuvre annoncée était aussi lourde de menaces, c'était le tiers payant ! Cela avait au moins l'avantage de répondre à un besoin, celui de toutes celles et ceux qui hésitent à aller voir le médecin, car il faut faire l'avance des frais. C'était bien insuffisant et on aurait aimé que la loi supprime aussi les franchises par exemple, tout ce qui fait que les restes à charge entrainent des refus de soins, des retards, d'ailleurs facteur de dépenses supplémentaires pour la sécu pour cause d'aggravation de la maladie. Mais c'était mieux que rien !
Et nous n'allons avoir qu'une demi-mesure, puisque le conseil constitutionnel a censuré ce qui correspond au tiers payant pour la partie mutuelle et qu'il va encore falloir payer chez le médecin le ticket modérateur, avant de se faire rembourser par sa mutuelle.
La Ministre s'en contente, à croire qu'elle espérait cet avis du conseil constitutionnel pour se sortir de l'impasse dans laquelle elle s'était mise ! Car les médecins ont raison de dire que la gestion du tiers payant est compliqué, et les mécanismes envisagés étaient mortifères, par le rôle accordé y compris à des assurances privées : c'était un pas de plus vers la marchandisation de la protection sociale !
Mais il y a une solution pour un tiers payant de progrès véritable ! Le PCF la propose depuis longtemps : le remboursement à 100% par la Sécurité Sociale des soins prescrits. Le bon sens de cette proposition fait qu'elle est de plus en plus reprise. Et ne dites pas que ça va couter cher ! Les patrons participent déjà au financement des complémentaires : ce financement pourrait aller dans les caisses de la sécu. Evidemment pour eux, ce n'est pas pareil et ils préfèrent financer une complémentaire alimentant les comptes d'une banque privée que la sécurité sociale, de l'argent public, qui appartient à nous tous !
A la suite de la manifestation de Guéret de mai dernier sur les services publics, les organisations participantes à la convergence des services publics dans les Ardennes avaient décidé de s'inscrire dans la démarche des assises des services publics du XXIème siècle en commençant par une conférence-débat sur ce bien commun qu'est la Sécurité Sociale, une manière pour elles de fêter les 70 ans de ce progrès essentiel de notre société, créée à l'initiative d'Ambroize Croizat, ministre communiste à la libération : un anniversaire pour rappeler toute son actualité !
Cette conférence-débat
aura lieu le
5 février à 18 h
salle de Nevers à Charleville-Mézières.
Venez y nombreux : on pourrait en profiter pour créer un collectif pour le remboursement à 100% par la sécu !
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5 février à 18 h
salle de Nevers à Charleville-Mézières.
Venez y nombreux : on pourrait en profiter pour créer un collectif pour le remboursement à 100% par la sécu !
B. Ravignon, ancien conseiller "écologie" de N. Sarkozy, voudrait il s'affranchir des lois de la nature ?
Il persiste et signe : la coopération
transfrontalière avec la Belgique permettant aux habitants d'aller
se faire soigner dans le pays voisin est mauvaise pour l'hôpital
de Charleville-Mézières, car non équilibrée : ce sont
essentiellement des Français qui vont se faire soigner en Belgique
au détriment de l'activité de l'hôpital du chef lieu ardennais, a-t-il redit lors des voeux à l'hôpital.
Connait il la géographie de notre département ? A-t-il déjà regardé une carte ?
Je résume pour des lecteurs lointains : le nord des Ardennes, c'est un massif forestier traversé d'un fleuve, la Meuse. La frontière avec la Belgique est essentiellement sur les hauteurs forestières, dessinant une espèce de presqu'île en Belgique, centrée par la Meuse, ce qu'on appelle la Pointe des Ardennes. La population. est essentiellement concentrée dans la vallée, de part et d'autre de la frontière. (Que mes amis des vallées de la Goutelle ou de la Semoy veuillent bien excuser ce schématisme, mais les habitants des vallées de ces deux affluents de la Meuse ne sont pas concernés par les propos de B. Ravignon : ils viennent se faire soigner à Charleville-Mézières parce que c'est plus proche.)
C'est à dire que toutes les zones belges proches de Charleville-Mézières sont forestières, peu peuplées, pas de quoi justifier des hospitalisations en nombre de Belges.
Par contre les habitants du nord de la vallée, et ils sont nombreux, sont beaucoup plus près des hôpitaux belges que des français. Alors, ils vont se faire soigner en Belgique. Est ce étonnant ?
Les cliniques privées de Givet puis de Revin ont été fermées, sans que les pouvoirs publics ne s'en émeuvent, alors qu'elles avaient un vrai rôle de service public, sans que l'on ne redonne des moyens à l'hôpital de Fumay, depuis longtemps cantonné à un rôle de moyen séjour, avec toutes les difficultés que l'on connaît sur la prise en charge des urgences dans ce lieu, antenne du SMUR, dénué de tout moyen d'accueil quand le SMUR est sorti.
Alors, oui, cela a commencé avec les femmes qui ont été accouché en Belgique, à Dinant et l'exigence de la population a été entendue puisqu'est actée maintenant la prise en charge par la sécurité sociale de soins en Belgique pour tous ces Ardennais du nord de la vallée.
Alors oui, cette coopération transfrontalière n'est pas dans les deux sens : elle répond aux besoins des populations, en fonction des contraintes naturelles, géographiques.
B. Ravignon veut ignorer le vrai problème, celui des moyens des hôpitaux fondés sur la tarification à l'activité, un terme d'ailleurs faux, puisque les tarifs ne correspondent pas aux frais engagés par les hôpitaux pour soigner tel ou tel malade, mais sont fixés arbitrairement, en fonction de choix politiques.
Ce choix d'une tarification à l'activité, c'est celui des gouvernements de droite : il date de l'époque Chirac/Raffarin. Il a été confirmé à l'époque où B. Ravignon était conseiller à l'Elysée (et d'ailleurs depuis utilisé par le gouvernement socialiste, mais je serais trop longue si je rentrais dans cet article sur la catastrophe qu'est la loi Touraine).
Ce mode de tarification instaure un déficit de principe dans tous les hôpitaux, ne leur donnant comme seule perspective que d'augmenter leur activité, pour faire des économies d'échelle et comme ils n'ont pas les moyens d'augmenter le nombre de malades de leur territoire (heureusement !!), c'est en entrant en concurrence avec les voisins avec toutes les conséquences que cela a eu, et a toujours, sur la fermeture des hôpitaux de proximité.
N'en déplaise à B. Ravignon : c'est un autre mode de financement des hôpitaux qui est nécessaire, ce sont aussi des activités nouvelles à l'hôpital de Fumay. Ce ne sont pas les habitants de la Pointe qui sont responsables, ce sont les gouvernement successifs !
Connait il la géographie de notre département ? A-t-il déjà regardé une carte ?
Je résume pour des lecteurs lointains : le nord des Ardennes, c'est un massif forestier traversé d'un fleuve, la Meuse. La frontière avec la Belgique est essentiellement sur les hauteurs forestières, dessinant une espèce de presqu'île en Belgique, centrée par la Meuse, ce qu'on appelle la Pointe des Ardennes. La population. est essentiellement concentrée dans la vallée, de part et d'autre de la frontière. (Que mes amis des vallées de la Goutelle ou de la Semoy veuillent bien excuser ce schématisme, mais les habitants des vallées de ces deux affluents de la Meuse ne sont pas concernés par les propos de B. Ravignon : ils viennent se faire soigner à Charleville-Mézières parce que c'est plus proche.)
C'est à dire que toutes les zones belges proches de Charleville-Mézières sont forestières, peu peuplées, pas de quoi justifier des hospitalisations en nombre de Belges.
Par contre les habitants du nord de la vallée, et ils sont nombreux, sont beaucoup plus près des hôpitaux belges que des français. Alors, ils vont se faire soigner en Belgique. Est ce étonnant ?
Les cliniques privées de Givet puis de Revin ont été fermées, sans que les pouvoirs publics ne s'en émeuvent, alors qu'elles avaient un vrai rôle de service public, sans que l'on ne redonne des moyens à l'hôpital de Fumay, depuis longtemps cantonné à un rôle de moyen séjour, avec toutes les difficultés que l'on connaît sur la prise en charge des urgences dans ce lieu, antenne du SMUR, dénué de tout moyen d'accueil quand le SMUR est sorti.
Alors, oui, cela a commencé avec les femmes qui ont été accouché en Belgique, à Dinant et l'exigence de la population a été entendue puisqu'est actée maintenant la prise en charge par la sécurité sociale de soins en Belgique pour tous ces Ardennais du nord de la vallée.
Alors oui, cette coopération transfrontalière n'est pas dans les deux sens : elle répond aux besoins des populations, en fonction des contraintes naturelles, géographiques.
B. Ravignon veut ignorer le vrai problème, celui des moyens des hôpitaux fondés sur la tarification à l'activité, un terme d'ailleurs faux, puisque les tarifs ne correspondent pas aux frais engagés par les hôpitaux pour soigner tel ou tel malade, mais sont fixés arbitrairement, en fonction de choix politiques.
Ce choix d'une tarification à l'activité, c'est celui des gouvernements de droite : il date de l'époque Chirac/Raffarin. Il a été confirmé à l'époque où B. Ravignon était conseiller à l'Elysée (et d'ailleurs depuis utilisé par le gouvernement socialiste, mais je serais trop longue si je rentrais dans cet article sur la catastrophe qu'est la loi Touraine).
Ce mode de tarification instaure un déficit de principe dans tous les hôpitaux, ne leur donnant comme seule perspective que d'augmenter leur activité, pour faire des économies d'échelle et comme ils n'ont pas les moyens d'augmenter le nombre de malades de leur territoire (heureusement !!), c'est en entrant en concurrence avec les voisins avec toutes les conséquences que cela a eu, et a toujours, sur la fermeture des hôpitaux de proximité.
N'en déplaise à B. Ravignon : c'est un autre mode de financement des hôpitaux qui est nécessaire, ce sont aussi des activités nouvelles à l'hôpital de Fumay. Ce ne sont pas les habitants de la Pointe qui sont responsables, ce sont les gouvernement successifs !
Hôpital : Ravignon n'a rien compris !
L'humain d'abord, avant la finance !
Ravignon et à sa suite le PS ardennais ont
trouvé un nouveau bouc émissaire des difficultés de l'hôpital :
les gens qui vont se faire soigner en Belgique !
Et oui, la répartition est inégale : il y a beaucoup plus de Français qui vont se faire soigner en Belgique que de Belges qui viennent en France. Mais ont ils regardé la carte des Ardennes ? C'est la proximité que cherchent les gens, qu'ils soient Français ou Belges.
Il faudrait augmenter l'activité de l'hôpital de Charleville-Mézières ? Curieusement, le discours de la droite ardennaise s'en prend plus aux habitants de la Pointe qu'aux médecins carolomacériens qui orientent vers le secteur privé rémois. Mais la notion de défense du service public n'est pas leur fort !
C'est en plus absurde : la tarification à l'activité a été conçue pour diminuer les ressources de l'hôpital, pas pour leur donner les finances permettant de couvrir leurs besoins et les tarifs sont fixés arbitrairement chaque année, de telle manière que plus d'activité, ce sont des tarifs revus à la baisse et que dans beaucoup de cas, l'hôpital perd des sous en soignant certaines pathologies.
Mais s'en prendre aux habitants de la pointe, c'est éviter de remettre en cause la tarification à l'activité, la loi de financement de la sécurité sociale. C'est contribuer à culpabiliser, à diviser.
Et oui, la répartition est inégale : il y a beaucoup plus de Français qui vont se faire soigner en Belgique que de Belges qui viennent en France. Mais ont ils regardé la carte des Ardennes ? C'est la proximité que cherchent les gens, qu'ils soient Français ou Belges.
Il faudrait augmenter l'activité de l'hôpital de Charleville-Mézières ? Curieusement, le discours de la droite ardennaise s'en prend plus aux habitants de la Pointe qu'aux médecins carolomacériens qui orientent vers le secteur privé rémois. Mais la notion de défense du service public n'est pas leur fort !
C'est en plus absurde : la tarification à l'activité a été conçue pour diminuer les ressources de l'hôpital, pas pour leur donner les finances permettant de couvrir leurs besoins et les tarifs sont fixés arbitrairement chaque année, de telle manière que plus d'activité, ce sont des tarifs revus à la baisse et que dans beaucoup de cas, l'hôpital perd des sous en soignant certaines pathologies.
Mais s'en prendre aux habitants de la pointe, c'est éviter de remettre en cause la tarification à l'activité, la loi de financement de la sécurité sociale. C'est contribuer à culpabiliser, à diviser.
Un mauvais point pour Ravignon & Co.
ARS et réforme territoriale : le gâchis et en plus la maltraitance des personnels !
J'ai dans un article précédent donné quelques
éléments sur le dernier conseil de surveillance de l'ARS de
Champagne Ardenne (à relire en cliquant
ici). Je ne vous avais pas parlé réforme territoriale. Pour
cause, cela avait été traité en une phrase, le directeur indiquant
qu'il ne pouvait en parler puisque le projet de réorganisation des
services était avant tout soumis aux instances représentatives du
personnel.
Sauf que j'ai appris depuis que la concertation avec les personnels était faite en dépit du bon sens avec des documents transmis seulement deux heures avant le comité d'agence !
Car évidemment, il faut faire vite pour que ça ne se sache pas ! Presque rien ne resterait à Chalons en Champagne, ce qui évidemment pose un problème majeur pour le personnel (avec déjà des statuts différents et pas forcément protecteur après la création des ARS) mais aussi pour l'emploi à Chalons et pour la santé globalement en région : déjà que la création des ARS faisait partie des réformes nuisibles, en plus maintenant les lieux de décision vont s'éloigner, manière de pouvoir prendre encore un peu plus de décisions en douce !
Sauf que j'ai appris depuis que la concertation avec les personnels était faite en dépit du bon sens avec des documents transmis seulement deux heures avant le comité d'agence !
Car évidemment, il faut faire vite pour que ça ne se sache pas ! Presque rien ne resterait à Chalons en Champagne, ce qui évidemment pose un problème majeur pour le personnel (avec déjà des statuts différents et pas forcément protecteur après la création des ARS) mais aussi pour l'emploi à Chalons et pour la santé globalement en région : déjà que la création des ARS faisait partie des réformes nuisibles, en plus maintenant les lieux de décision vont s'éloigner, manière de pouvoir prendre encore un peu plus de décisions en douce !
Étonnante satisfaction de l'ARS de Champagne Ardenne
Conseil de surveillance de l'ARS ce matin avec
à l'ordre du jour le bilan de l'ARS Champagne Ardenne ! Beaucoup
de choses faites d'après le directeur ! Dont la satisfaction
d'avoir rétabli l'équilibre financier des hôpitaux !
A quel prix ! Des suppressions d'emploi, des fermetures de services comme la maternité de Vitry le François.
C'est en ce sens que je suis intervenue pour dire que outre ce qu'avait dit la présidente de la commission des usagers de l'ARS (qui avait dénoncé le manque de places en médico social, le manque de moyens pour la prévention et la division par deux du maigre budget consacré à la "démocratie sanitaire") auquel je souscrivais totalement, on ne pouvait être satisfait du rétablissement de l'équilibre financier des établissements hospitaliers, qui se traduisait par moins de personnel et donc une qualité des soins dégradées.
Par ailleurs j'ai rebondi sur l'intervention du préfet qui avait expliqué qu'en Bretagne certaines communes avaient décidé de salarier des médecins en disant que le bureau de la conférence de territoire avait dans son avis sur le contrat local de santé de la communauté de communes Ardennes Rives de Meuse rajouter cette notion de salariat éventuel, qui correspond au souhait de certains jeunes.
L'austérité nuit à la santé !
A quel prix ! Des suppressions d'emploi, des fermetures de services comme la maternité de Vitry le François.
C'est en ce sens que je suis intervenue pour dire que outre ce qu'avait dit la présidente de la commission des usagers de l'ARS (qui avait dénoncé le manque de places en médico social, le manque de moyens pour la prévention et la division par deux du maigre budget consacré à la "démocratie sanitaire") auquel je souscrivais totalement, on ne pouvait être satisfait du rétablissement de l'équilibre financier des établissements hospitaliers, qui se traduisait par moins de personnel et donc une qualité des soins dégradées.
Par ailleurs j'ai rebondi sur l'intervention du préfet qui avait expliqué qu'en Bretagne certaines communes avaient décidé de salarier des médecins en disant que le bureau de la conférence de territoire avait dans son avis sur le contrat local de santé de la communauté de communes Ardennes Rives de Meuse rajouter cette notion de salariat éventuel, qui correspond au souhait de certains jeunes.
L'austérité nuit à la santé !